Audelà du lieu de travail, il est nécessaire de s’adonner à diverses activités pour éviter les rechutes dans la dépression. Ainsi, on sait par exemple que la pratique de la pleine conscience est très adaptée dans ces cas, comme Désignée par l’anglicisme burn-out », la dépression au travail s’agit d’une maladie se caractérisant notamment par un état d’épuisement profond, un sentiment d’incompétence, un sentiment d’échec, une perte de motivation et de facultés de décision, une baisse considérable du sentiment de plaisir et un désinvestissement de l’activité professionnelle. Elle guette aujourd’hui de nombreux salariés dans un contexte où le travail ainsi que l’entreprise peuvent toutefois se transformer en un véritable lieu de torture morale. Ainsi, on s’intéressera principalement dans ce qui va suivre sur les différentes causes d’une dépression professionnelle. Dépression au travail ou burn-out de quoi parle-t-on exactement ? La dépression à cause du travail ou burn-out ou épuisement professionnel est nécessairement liée au travail. Elle peut se définir comme une situation de mal-être mental et physique lié au quotidien professionnel. Cela dit, l’épuisement professionnel affecte autant les pensées que l’humeur et le comportement. Autrement dit, ce genre de maladie correspond à la phase finale d’un processus durant lequel le stress est devenu trop important. Cela explique donc pourquoi en cas de burn-out, ceux qui sont atteintes sont toujours en situation de stress chronique et s’exposent davantage au risque de suicide. Le syndrome d’épuisement professionnel se caractérise par de nombreux symptômes, allant notamment des troubles du sommeil à la situation de déni, et en passant bien sûr par la fatigue chronique, l’irritabilité, la perte de motivation, la douleur musculaire, la variation de poids, les problèmes cardiaques, l’addiction, le manque d’appétit, etc. Il convient cependant de souligner qu’être dépressif au travail constitue un mal multifactoriel. Ce qui veut dire lorsqu’on est victime du burn-out, plusieurs de ces symptômes pourraient se manifester simultanément. D’autre part, la dépression professionnelle est l’un des troubles psychiatriques les plus fréquents, surtout en France. D’après une enquête menée par l’EDA European Depression Association, 20 % des employés français seraient atteints de dépression au travail durant leur carrière. Qui plus est, selon l’OMS Organisation mondiale de la santé, ladite dépression deviendra la deuxième cause d’invalidité à travers le monde d’ici 2020. D’un point de vue biologique, les experts ne parviennent toujours pas à expliquer complètement ce qui mène à la dépression professionnelle. Quoi qu’il en soit, il s’agit certainement d’une maladie assez complexe qui fait intervenir différents facteurs, comme ceux qui relèvent du quotidien professionnel ainsi que de la vie personnelle du salarié. Les causes relevant du quotidien professionnel Que l’on soit agent de la fonction publique, ou salarié du secteur privé CDI, CDD, travailleur intérimaire…, lorsque les tâches auxquelles on est confronté quotidiennement se multiplient et s’alourdissent, on s’expose automatiquement à des risques d’accidents et d’affections. Quand on est confronté à ce genre de situation, on est bien sûr en situation de stress chronique. Or, l’accumulation de stress au travail est susceptible de provoquer l’un après l’autre, voire simultanément les symptômes de l’épuisement professionnel. Une charge de travail trop conséquente constitue alors un facteur majeur de vulnérabilité du fait qu’elle est susceptible d’affaiblir le système immunitaire. On peut aussi classer parmi les causes de la dépression à cause du travail le manque d’autonomie. Des experts ont affirmé que l’épuisement professionnel peut se déclencher lorsque le salarié ne participe à aucune des décisions liées à ses missions, ou plus précisément lorsqu’il n’a aucun contrôle sur son travail. Là encore, le salarié s’expose à un degré de stress quotidien considérable du fait que celui-ci a bien sûr l’impression de ne pas avoir un objectif et de s’apparenter à une simple marionnette. Une telle situation risque tôt ou tard de compromettre la performance du salarié. Dès lors, ce dernier risque de perdre complètement sa motivation ainsi que le plaisir de travailler, voire même perdre le contrôle sur soi-même ainsi sur son activité. Il convient par ailleurs de souligner que les employés qui s’impliquent trop pour les autres ainsi que pour leurs missions sont souvent atteints de la dépression au travail. Plus concrètement, ces personnes-là se donnent souvent à fond, mais sans reconnaissance, notamment venant de leur employeur ou de leur supérieur hiérarchique. Cela dit, lorsque la reconnaissance et les efforts fournis sont en déséquilibre, cela risque certainement de donner champ libre aux différents symptômes du burn-out. Il en va de même lorsque les salariés souffrent de non-reconnaissance par leur supérieur quant aux problèmes et difficultés auxquels ils sont confrontés quotidiennement dans le cadre de leur travail. Dans un point de vue où les causes de la dépression au travail sont plurifactorielles, elles peuvent également relever des caractéristiques organisationnelles de la société le manque de soutien social et cohésion, les iniquités, les conflits de valeur, le manque de formation, l’inadéquation entre les compétences et le poste, les interruptions dans le travail, et ainsi de suite… Les causes qui relèvent de la crise économique Les mutations économiques que subissent actuellement les entreprises exposent quotidiennement les salariés à un degré de stress conséquent. La raison est que ce contexte s’accompagne de différents facteurs déclencheurs de la dépression professionnelle qui, à sa place, deviendra un déclencheur de la perte d’emploi rupture du CDD, licenciement, incapacité de travail. Parmi ces déclencheurs figurent notamment la crainte de perdre son poste actuel, les délocalisations, la compétitivité mondiale qui ne cesse de s’accroître, la pression de plus en plus lourde sur les fournisseurs, le temps de travail insuffisant par rapport à la quantité de travail à réaliser quotidiennement, les consommateurs qui sont de plus en plus exigeants, la technologie qui est en perpétuelle évolution, le marché qui est extrêmement concurrentiel, etc. Les causes qui relèvent des caractéristiques individuelles Il ne faut surtout pas oublier que certaines attitudes, situations ou caractéristiques individuelles sont susceptibles, dans un contexte de travail de plus en plus stressant et fatigant, de favoriser la survenue d’un épuisement professionnel. Le fait de trop s’engager dans le travail, ou plus précisément faire son emploi le centre de sa vie, est l’un des comportements classiques qu’on retrouve souvent chez les candidats à l’épuisement professionnel. À cela s’ajoute le fait d’être trop perfectionniste dans tout ce qui concerne le travail ou de se fixer constamment des objectifs pratiquement inaccessibles envers soi-même. Sont également considérés comme étant des candidats au burn-out ceux qui ont de l’enthousiasme, de l’idéalisme et une conscience professionnelle poussés à l’extrême. Il en va de même pour les employés qui se négligent eux-mêmes et qui ont des difficultés à se fixer ses propres limites ; négligent tout ce qui a trait aux évacuations des tensions ; veulent tout faire au lieu de jouer la carte de la délégation ; ont du mal à maîtriser et canaliser leurs émotions ; se laissent dominer par l’anxiété ou par l’angoisse ; une faible estime de soi ; etc. Dépression au travail comment s’en prévenir ? Afin de se prémunir de la dépression au travail, il ne faut surtout pas se surcharger tout en se fixant des limites à ne pas outrepasser. Qui plus est, on doit apprendre à travailler en équipe et à déléguer. Il convient de surcroît d’éviter pousser à l’extrême son côté perfectionniste du fait qu’un tel comportement est considéré comme l’un des ennemis du bien. Si le rythme ainsi que la charge de travail sont trop conséquents, on doit agir rapidement dès les premiers signes de stress ou de fatigue en alertant directement la hiérarchie quant à ces conditions. Bien que l’on soit confronté quotidiennement à une charge de travail important, on peut très bien se mettre à l’abri du burnout en privilégiant ledit soutien social être soutenu par les collègues de travail, les supérieurs ou encore la famille. Dès qu’une difficulté se présente, il ne faut surtout pas hésiter à en parler autour de soi afin de bénéficier d’un soutien moral, voire matériel venant de l’entourage. Pour éviter la dépression au travail, il ne faut jamais garder son mal pour soi. Toujours dans l’optique de se protéger de la dépression professionnelle, il apparaît plus judicieux de souscrire à des formations ou des stages de gestion de stress. D’ailleurs, il s’agit là d’un poste de dépense pouvant toutefois être pris en charge, intégralement ou partiellement, par l’entreprise ou des organismes agréés. Sinon, on peut aussi miser sur la thérapie comportementale afin de se motiver à mettre en place une stratégie de combat qui apportera bonheur et tranquillité. Celle-ci se révèle d’autant plus indispensable lorsqu’on souffre d’un trouble anxieux ou qu’on a du mal à surpasser ses problèmes de phobie, etc. D’autre part, il ne faut pas hésiter à s’adonner à des activités divertissantes en dehors des heures de travail ou durant le week-end pour se détendre, se relaxer et pour relâcher toutes les tensions physiques et psychiques.
16. Etape 1 / Sortir du déni. Toute dépression doit être l’occasion de se pencher sur son histoire, de s’occuper de soi et, donc, de servir son épanouissement personnel. Pour cela, une
 Rédigé par Loris Vitry coach holistiqueSupervisé par Cathy Maillot ostéopathe Avertissement Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement. Nouveauté Cette technique de respiration anti-stress est très efficace pour désactiver l'anxiété et les angoisses et non, ce n'est pas de la respiration profonde. 1 Quelles sont les origines de ces douleurs ?2 Quelques exercices pour soulager les L’exercice Faire des exercices d’ Faire travailler son cœur en faisant des exercices Les exercices de détente3 Quelques astuces Une bonne hygiène L’eau de mer riche en Maîtriser le chaud et le froid L’état de stress est une réaction de l’organisme face une situation imprévue. Mais le stress devient un danger pour la santé physique et psychique de la personne lorsqu’il perdure et s’intensifie. Dans ces situations, le corps émet des signaux censés prévenir que la pression qu’il subit n’est plus gérable. Parmi ces signaux on peut citer la fatigue qu’on ne parvient pas à atténuer malgré le sommeil, les troubles de sommeil avec des nuits agitées ce qui provoque une certaine irritabilité, des douleurs articulaires qui peuvent se muer en arthrose et des douleurs à l’origine des maux tels que les courbatures du cou ou du dos et des crampes. Quelles sont les origines de ces douleurs ? Les douleurs articulaires font partie des troubles musculo-squelettiques TMS. Ils sont considérés comme les maladies les plus fréquentes dans le milieu professionnel. Selon un chiffre publié par l’ANACT Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail, 70% des maladies professionnelles en France sont des TMS depuis le début des années 2000. Elles ne sont pas forcément causées par l’intensité du travail physique, mais par un environnement intellectuel qui soumet le sujet à une forte pression. Les TMS sont favorisés par l’activation du système nerveux végétatif, ce qui provoque une augmentation de la fréquence cardiaque, tout en occasionnant la diminution de la vascularisation dans les muscles et au niveau des tendons. Les douleurs musculaires auraient des origines psychophysiologiques. Dans les années quarante, Donald Hebb a établi une relation entre un état de stress et l’augmentation des tensions musculaires notamment dans la zone qui va de la nuque au dos. Encore désignée sous le terme de tonus musculaire », la tension musculaire est la légère contraction dans laquelle se trouve en permanence tout muscle squelettique lorsqu’il est au repos. Contrôlée par le système limbique, cette tension subit les effets de l’état d’anxiété d’un individu, car le système limbique réagit et s’ajuste à chaque stimulus. Quelques exercices pour soulager les douleurs Il est parfaitement possible de soulager les douleurs avec un peu d’exercice. L’exercice physique L’activité physique aide grandement à maintenir le corps dans un bon état de santé. Donc, quel que soit le temps que vous prend votre travail, il est important de vous réserver un moment pour détendre vos muscles et vos articulations. Avant de démarrer un exercice physique, il est important de préparer votre corps pour éviter de vous blesser. Cette phase est appelée l’échauffement. L’échauffement permet de drainer le sang dans les muscles. Il permet également de préparer les articulations à travers des exercices d’assouplissement. Faire des exercices d’étirement Ils sont surtout conseillés aux personnes souffrant d’arthrose, car, au-delà de favoriser la diminution du tonus musculaire, ils diminuent les contraintes de frictions et de compressions que subit l’articulation sous l’effet de la tension du muscle et permettent de ce fait une plus grande amplitude des mouvements. Renforcer sa musculation permet au corps de supporter la répétition des efforts. Plus vous augmentez votre densité musculaire, plus vos muscles supportent les charges, soulageant ainsi les articulations. Faire travailler son cœur en faisant des exercices cardiovasculaires Vous augmenterez progressivement l’intensité des exercices, de manière à lui permettre d’assimiler la nouvelle difficulté. Des exercices comme la marche ou la nage sont très conseillées pour améliorer son cardio. Les exercices de détente Tout en étant une méthode de relaxation du corps et de méditation, les exercices de yoga permettent d’étirer les muscles, les articulations, mais aussi l’esprit en ce sens qu’il permet d’avoir une meilleure hygiène de vie mentale. Le yoga est recommandé pour les personnes victimes de stress et de troubles du sommeil. Vous pouvez y associer d’autres exercices tels que le Pilates qui vous permet de travailler votre stabilité, tout en améliorant votre amplitude articulaire. Le massage aide à réduire la tension musculaire. C’est une autre forme d’étirement qui permet de travailler isolément sur la peau, qui a son rôle dans les mouvements du corps. La kinésithérapie souvent assimilée à un massage, est aussi un traitement thérapeutique qui détend les muscles de façon à leur permettre de mieux protéger les articulations qu’ils entourent. Quelques astuces supplémentaires Nous allons vous donner quelques astuces qui vous permettront d’avoir moins de douleurs musculaires et articulaires. Une bonne hygiène alimentaire Il est important de faire attention à ce que vous consommez, car certains aliments ne sont pas étrangers à l’inflammation articulaire. Ils sont dits pro inflammatoires et allergènes. C’est le cas des produits laitiers et des aliments composés à base de gluten. Il faut bien s’hydrater, avoir une alimentation riche en fruits, en légumes et en matière grasse. Des études ont montré que certains suppléments alimentaires contribuent à la bonne santé des articulations. C’est le cas de l’oméga-3 reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires, ou encore la glucosamine, qui aide au maintien et au renforcement du cartilage. La consommation régulière de magnésium aide à combattre les douleurs musculaires et les crampes. On en retrouve dans les légumes comme les haricots blancs et rouges, dans les amandes, les noix et les moules entre autres. Se reminéraliser avec des cures à base d’eau de mer aide à soulager les douleurs liées à l’arthrose, maladie due à la dégradation du cartilage. L’eau de mer riche en minéraux Consommer des produits à base d’eau de mer plasma marin peut contribuer à ralentir cette dégradation du cartilage. Il est recommandé de faire des cures d’une à trois semaines, avec des intervalles de pause d’une semaine et en alternant avec des cures de plantes. Si vous faites de l’hypertension, choisissez le plasma marin le moins salé possible. Maîtriser le chaud et le froid La chaleur est appropriée pour détendre vos muscles. Elle favorise la dilatation des vaisseaux et de ce fait accélère la circulation sanguine. La chaleur peut soulager des douleurs musculaires causées par le stress, mais aussi les crampes et les courbatures. Pour atténuer une douleur due à un mauvais mouvement par exemple, vous pouvez avoir recours à une pommade chauffante. Le froid est un analgésique qui peut aider à soulager les douleurs liées aux articulations. En cas de douleur de nature inflammatoire, vous pouvez procéder à un massage en utilisant une serviette remplie de glaçons. Vous la maintiendrez sur la zone endolorie pendant une vingtaine de minutes. En bref, si vous êtes en état de stress chronique, sachez écouter les signaux émis par votre corps. Si vous ressentez des douleurs articulaires ou musculaires, vous subissez peut-être les effets du stress. Consultez un médecin afin qu’il vous dirige vers un spécialiste en kinésiologie. Celui-ci vous aidera à établir un programme qui correspond à vos besoins. Toutefois, il faudra en plus du travail articulaire et musculaire, réduire votre stress. Pour cela, n’hésitez pas à suivre notre atelier gratuit en gestion du stress ! Ce test surprenant va vous révéler votre niveau de stress TEST DE STRESS Continuez votre lecture Formation sophrologie comment devenir sophrologue ? Famille toxique comment survivre et s’en sortir ? Anxiété Passezdu temps avec des personnes positives. Un soutien social est une chose cruciale pour vous sortir de la dépression et cela peut vous aider à gérer les évènements stressants de votre vie (les changements de travail ou la perte de votre emploi, etc. ).Le soutien que les autres vous apportent peut aussi réduire les pensées négatives qui peuvent mener à la dépression .
Le 18 juin un travail, c’est bien. Trouver un travail qui nous épanouit, c’est encore mieux. Le nombre de personnes en dépression à cause de leur situation professionnelle ne cesse en effet d’ travail est une source de stressSelon un sondage Odoxa réalisé pour le laboratoire danois Lundbeck, un laboratoire spécialisé notamment dans la dépression et la schizophrénie, de très nombreux Français 28% ont déjà connu un état dépressif. Ces dépressions ont des causes variées mais, selon 56% des personnes interrogées, le travail serait un facteur aggravant. La pression des supérieurs, un management toxique, un rythme soutenu peuvent en effet conduire à des états de mal-être profonds. Obtenir un travail et le garder est vécu comme une pression majeure, alors qu'il est aussi une modalité d'accomplissement de chacun », commente le professeur Raphaël Gaillard, psychiatre à l'hôpital Sainte-Anne, dans les colonnes du Figaro. Le travail devrait être une source d’épanouissement personnel, il est aujourd’hui considéré par de très nombreux Français comme un lieu de stress qui finit par nuire au avons besoin d’être valorisésCertains managers seraient responsables de ces états dépressifs. Le management demande une grande part d’humanité. Si le salarié est en permanence rabaissé dans son travail, il finira par penser que c’est lui qui est mauvais. En se faisant des reproches, les êtres humains se créent une ambiance à déprime parce qu'ils sont déçus d'eux-mêmes », ajoute le spécialiste. Tous ne parviennent pas à prendre du recul face aux qui est dramatique c’est que ces dépressions restent très taboues au sein des entreprises. Selon ce sondage, 69% des salariés n’hésiteraient pas à parler d'un cancer à la médecine du travail. Ils ne seraient en revanche que 58% à accepter de parler de leur état dépressif. Cela vient en grande partie du fait que la dépression est souvent vécue comme un état qu’on pourrait éviter si on était un peu plus fort. Pourtant, la dépression est une maladie que l’on doit soigner et RondotCet article vous-a-t-il été utile ?Cette nouvelle fait partie de nos se peut que son contenu ne soit pas à jour. archive les nouvelles 12 mois après leur parution. Pour être sûr d'avoir l'information la plus à jour sur ce sujet, interrogez notre moteur de recherche. ×À lire aussi
Bonjour Je voudrais savoir comment on peut gérer depression et travail ? Je suis cadre dans une grose boite, plutot du
403 ERROR Request blocked. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID vsE7k_2gjgWAxED5rFhtyngcSDmSsxYO0dQulS7Kf0MCzUwdLU6eKQ==
2 Décrivez comment vous percevez la situation. Encore une fois, faites-le avec la plus grande précision possible. Décrivez vos pensées et vos convictions en relation à la situation qui vous désespère, ce qui la cause, ce qu’elle vous fait ressentir, et ce que vous pensez qui devrait se produire maintenant. 3.
Tous les derniers mercredis du mois, notre série Travailler avec un collègue en situation de handicap » se penchera sur un état de santé posant parfois problème au travail. Comment contourner ces freins au bon fonctionnement d’une équipe ? C’est que nous tenterons de découvrir aujourd’hui au sujet de la dépression. Chaque handicap est unique. Chez Talentéo, nous avons compris que si nous pouvions sensibiliser au handicap dans l’emploi, il fallait surtout prendre en compte les situations au cas par cas. Il est nécessaire de comprendre que le handicap est un ensemble de symptômes qui posent problème ou pas dans un contexte donné. C’est pourquoi on parle de situation de handicap. Travailler avec une personne atteinte de dépression ne sera donc pas identique selon les cas. Nous avons recensé les traits communs de la maladie, pour que chacun puisse améliorer la relation de travail. Comprendre, c’est déjà changer les choses. Un handicap psychique qui irait de pair avec un niveau élevé de formation La dépression est un handicap psychique que nous appelons un handicap invisible la personne qui en est atteinte peut souvent le cacher ». Nous parlons bien de handicap psychique, et pas mental ». Sont concernées des maladies aux noms qui font souvent paniquer la schizophrénie, la paranoïa, l’anxiété généralisée, les troubles bipolaires, les troubles obsessionnels ou phobiques, et bien sûr la dépression chronique. D’ailleurs, selon l’Agefiph, il s’agit de la deuxième cause d’arrêt maladie en France avec prêt de 2 500 000 français touchés chaque année. Gardez votre sang-froid, et pensez en dehors de la boîte. Ces personnes auraient un niveau de qualification nettement supérieur à la moyenne. Ces pathologies se déclarent généralement à l’âge adulte, sans entraver la scolarité, de plus en plus souvent au cours de cursus exigeants. Saviez-vous que Auguste Compte, Louis XV et Jacques Mayol étaient dépressifs ?… Oubliez tout ce que vous pensez savoir les symptômes objectifs de la dépression Il est d’ordinaire déjà difficile de parler de son handicap, encore plus au travail. Les personnes atteintes de dépression sont très touchées par ce tabou, puisque pour la plupart des gens, dépression » signifie tristesse. Il faut savoir que cette maladie peut toucher n’importe qui, qu’une personne soit triste, gaie, énergique, ou paresseuse. Biologiquement parlant, il s’agit d’un dérèglement chimique touchant le plus souvent la sérotonine un neurotransmetteur, la thyroïde… Quand un médecin cherche à faire un diagnostic, il se base sur les symptômes visibles ou ressentis du patient. Pourquoi n’arrivons-nous pas à en faire de même ? Parce que le handicap est souvent tabou. Quand vous pensez dépression, pensez à présent Variations de poids, troubles du sommeil insomnie/hypersomnie Fatigue et perte d’énergie Ralentissement psychomoteur troubles de la concentration et de la mémoire, difficulté à suivre une conversation, indécision En situation d’épisode dépressif majeur dévalorisation, humeur triste et mélancolique, perte d’intérêt pour les activités habituelles, idées suicidaires L’importance de ces symptômes variera selon le degré de traitement suivi par la personne qui en est atteinte ! De l’importance des stéréotypes. Les préjugés sont parfois des tabous en parler pour mieux travailler ensemble Le problème de la dépression, et plus globalement du handicap psychique, est d’accepter qu’il s’agisse d’un handicap. Parce que les personnes en situation de handicap ont les mêmes tabous et idées reçues que le reste d’entre nous, elles ont du mal à demander une reconnaissance en qualité de travailleurs handicapé RQTH. Le Handicap représente souvent pour eux une étiquette. Pourtant, handicap » signifie objectivement désavantage », pas position de faiblesse »… ! La personne atteinte de dépression doit se distancier de ses symptômes, et comprendre qu’elle n’est pas fautive ». Parler de symptômes aide à comprendre qu’il s’agit d’une maladie qui a sans doute des origines psychiques, mais qui a pourtant des répercussions physiques, notamment en terme d’énergie ou de concentration. Comprendre que le handicap touche potentiellement tout le monde a tout âge de la vie aide également. . En effet, en 2021, 12 millions de français sont en situation de handicap, et dans 80 % des cas, il s’agit de handicap invisible. Témoignages et conseils pratiques Mon handicap était très gênant pour faire mon travail dans les temps. Tout a été beaucoup plus simple pour moi quand mon manager s’est penché avec moi sur la façon de mieux m’organiser pour gérer mon temps. Nous avons énormément discuté de ma problématique de santé, et à force, on a réussi à trouver ensemble un système qui me convenait. Ça a pris pas mal de temps, mais aujourd’hui je peux dire que j’apporte vraiment quelque chose de particulier à l’équipe, en plus de mes compétences je les pousse à être plus synthétiques, un peu plus organisés ! Et peu à peu, j’arrive de mieux en mieux à m’organiser, et à atteindre le niveau d’exigence qu’on me demande sans me mettre la pression. L’attitude de mon entreprise a vraiment fait la différence, et me permet de dépasser la maladie, même si je sais qu’elle est chronique et qu’elle ne disparaîtra jamais vraiment. Charlotte, 31 ans. Comprenez que quelqu’un atteint de dépression a plus de mal à gérer son énergie que la moyenne. Evitez de lui mettre trop de pression sur les objectifs, sinon, gare au burn-out votre collaborateur fera tout pour réussir, mais il viendra à bout de ses réserves d’énergie très rapidement. Voyez avec votre collaborateur comment il s’organise pour gérer les problèmes de mémoire et de concentration. Suivre le fil dans une conversation remplie de détails peut être difficile, épargnez-lui les informations inutiles, disciplinez-vous ! Encouragez-le à prendre des décisions, à écouter ses intuitions. Le plus souvent, il a pleinement conscience des implications des choix qui s’offrent à lui. Son souci est de se fier à son jugement, qui peut être par ailleurs excellent. De manière générale, évitez de critiquer son travail de façon sous-entendue. Une critique se rapportant à son travail est souvent perçue dix fois plus intensément par une personne dépressive. Parlez-en franchement et relativisez. Globalement, votre travail de collègue ou de manager sera de redonner confiance. Rassurez-le sur ce qui est positif, offrez-lui des retours favorables aussi souvent que possible. Le problème se situe enfin sur la capacité d’établir des connections. Incitez-le à être en relation avec de nombreux interlocuteurs, petit à petit. Vous êtes en dépression et vous travaillez ? Votre collègue ou collaborateur est en dépression ? Vous vous demandez si c’est le cas et voulez en parler ? Rendez-vous sur nos plateformes sociales ! Publié le 18 avril 2022 . © 2022 Talentéo. Toute reproduction interdite sans l’autorisation de l’auteur. Partenariat Votre adresse mail est destinée exclusivement à Talentéo et à son sous-traitant pour vous adresser la newsletter. Elle ne sera en aucun cas cédée à un tiers à des fins commerciales. Conformément au Règlement Européen Général sur la Protection des Données RGPD, vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, de suppression de vos données personnelles. Vous pouvez également à vous désabonner à tout moment en cliquant sur le lien de désabonnement situé en bas de la newsletter. Pour plus d’informations sur l’exercice de vos droits, consultez notre page Données Personnelles
. 496 141 453 117 106 391 350 494

depression a cause du travail que faire