Unecentrale nucléaire mise en service utilise du combustible nucléaire pour alimenter le réacteur. Lorsqu'ils sont utilisés dans un réacteur, les combustibles utilisés peuvent prendre différentes formes: un métal, un alliage ou un mélange d'oxydes. La plupart des réacteurs nucléaires utilisent un composé composé de dioxyde d
Décryptages Stockée dans les objets, les molécules, les atomes, l’énergie se manifeste de multiples façons. Mais qu’elle soit mécanique, cinétique, énergie thermique des mers, chimique, rayonnante ou encore nucléaire, elle peut toujours se convertir d’une forme à une autre. L'énergie mécanique L’énergie mécanique, associée aux objets, est la somme de deux autres énergies l’énergie cinétiqueL’énergie cinétique est l’énergie d'un corps liée à son mouvement. et l’énergie potentielle l’énergie cinétique est l’énergie des objets en mouvement ; plus la vitesse d’un objet est grande, plus son énergie cinétique est importante. L’énergie des cours d’eau énergie hydraulique et celle du vent énergie éolienne sont des énergies cinétiques. Elles peuvent être transformées en énergie mécanique moulin à eau, moulin à vent, pompe reliée à une éolienne ou en électricité, si elles entraînent un générateur. l’énergie potentielle est l’énergie stockée dans les objets immobiles. Elle dépend de la position de ces derniers. Comme son nom l’indique, elle existe potentiellement, c’est-à-dire qu’elle ne se manifeste que lorsqu’elle est convertie en énergie cinétique. Par exemple, une balle acquiert, quand on la soulève, une énergie potentielle dite de pesanteur, qui ne devient apparente que lorsqu’on la laisse tomber. L’énergie thermique Il s'agit tout simplement de la chaleurAujourd'hui, en thermodynamique statistique, la chaleur désigne un transfert d'agitation thermique des particules composant la matière... . Celle-ci est causée par l’agitation, au sein de la matière, des molécules et des atomesL'atome est le constituant fondamental de la matière, la plus petite unité indivisible d'un élément chimique... . L'énergie thermique représente donc l'énergie cinétique d'un ensemble au repos. Dans une machine à vapeur, elle est transformée en énergie mécanique ; dans une centrale thermique, elle est convertie en électricité. Le sous-sol renferme de l’énergie thermique géothermieLe terme géothermie désigne à la fois la science qui étudie les phénomènes thermiques internes au globe terrestre... , qui est utilisée soit pour produire du chauffage, soit pour générer de l’électricité. Voir le dossier Géothermie la chaleur de la Terre » L’énergie chimique L’énergie rayonnante L’énergie nucléaire L’énergie électrique L'énergie électrique représente de l'énergie transférée d'un système à un autre ou stockée dans le cas de l'énergie électrostatique grâce à l'électricité, c'est-à-dire par un mouvement de charges électriques. Elle n'est donc pas une énergie en soi, mais un vecteur d'énergie. Le terme est toutefois communément utilisé par commodité de langage. Les systèmes pouvant fournir ces transferts électriques sont par exemple les alternateurs ou les piles. Les systèmes receveurs de ces transferts sont par exemple les résistances, les lampes ou les moteurs électriques.
EnFrance, 630 000 personnes vivent à moins 10 kilomètres de l'une des 19 centrales. Une équipe de France 3 s'est rendue à Cattenom. C'est ici que se trouve la sixième centrale la plus Actuellement, la moitié des réacteurs du parc nucléaire français sont à l'arrêt. Cette situation est principalement causée par la détection récente de corrosion sous contrainte dans plusieurs réacteurs, mais pas seulement !Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] La différence entre fusion nucléaire et fission nucléaire Quelle est la différence entre fission et fusion nucléaire ? Les deux impliquent des réactions au niveau du noyau atomique, mais la fusion consiste à rassembler deux noyaux légers, là où la fission casse un noyau lourd en deux plus légers. Septembre 2021, de la corrosion sous contrainte était découverte dans un des réacteurs de la centrale de Civaux. Depuis, de nombreux réacteurs ont été mis à l'arrêt afin de contrôler si de la corrosion était présente aux mêmes endroits. Sur les 56 réacteurs du parc nucléaire français, 27 sont actuellement à l'arrêt, entre les visites décennales, les arrêts pour rechargement, et cette fameuse corrosion sous contrainte qui a causé l'arrêt de 12 d'entre eux pour des contrôles. Olivier Dubois, directeur adjoint de l'expertise de sûreté à l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire IRSN, a accepté de répondre aux questions de Futura à ce sujet. C’est une situation inédite, qui a plusieurs facteurs »Les beaux jours arrivant, c'est le moment où commencent traditionnellement les arrêts pour maintenance et rechargement du combustible nucléaire après l'arrêt du réacteur et son refroidissement progressif pendant quelques jours, le combustible usé est placé en piscine de refroidissement sur le site de la centrale tandis qu'un combustible neuf est placé dans la cuve. Au total, ce processus prend au moins un mois, et jusqu'à six mois si des travaux sont prévus en même temps. Les arrêts pour rechargement sont souvent effectués dès le début du printemps, car les besoins d'électricité sont moindres qu'en plein hiver », explique Olivier Dubois. Ils suivent ensuite durant l'été, période pendant laquelle les besoins en électricité sont au plus bas. » Mais actuellement c'est une situation inédite, et qui a plusieurs facteurs. Environ la moitié des réacteurs sont à l'arrêt », précise Olivier Dubois. La raison principale est la corrosion sous contrainte découverte sur certains circuits, mais il y a aussi les visites décennales prévues des réacteurs de 900 MWe mégawatt électriques ainsi que celles de certains réacteurs de MWe. »Le prolongement des réacteurs de 900 MWe prend du tempsCes visites décennales ont pour but de contrôler chaque élément du réacteur, afin de prolonger, ou non, sa durée de vie de dix ans. EDF effectue une grande batterie de tests, que l'IRSN et l'ASN vérifient ensuite. Les contrôles vont de l'ancrage des tuyauteries pour la tenue en cas de séisme, au contrôle de la cuve, qui est un composant non remplaçable », explique O. c'est dans la cuve que se déroulent les réactions de fission nucléaire, elle est conçue pour supporter des irradiations importantes, et doit être particulièrement robuste. Elle subit de plus des conditions élevées de pression et température, avec une température de l'eau qui circule autour du combustible d'environ 300 °C et une pression de 155 fois celle de l'atmosphère ! EDF utilise une machine d'inspection en service MIS, qui va vérifier qu'il n'y a soit pas de défauts dans la cuve, soit pas d'évolution de défauts connus. Certaines cuves sont connues pour avoir des défauts depuis leur fabrication des fissures fermées, invisibles à l'œil nu, mais présentes sous le revêtement de la cuve. Elles correspondent à une zone où les grains du métal ne sont pas collés les uns aux autres », ajoute O. les réacteurs de 900 Mwe arrivent à 40 ans de fonctionnement, le but d'EDF est de prolonger cette durée jusqu'à 50, voire 60 ans. Une des grandes modifications des réacteurs de 900 Mwe est d'intégrer un stabilisateur de corium cœur fondu, en cas d'accident similaire à celui de Three Mile Island survenu en 1979. On veut s'assurer qu'en cas de percement de la cuve par le corium il puisse s'étaler correctement dans une zone suffisamment grande pour refroidir et ne pas percer le radier en béton du réacteur », indique O. Dubois. Mais les modifications associées aux 4e visites décennales des réacteurs de 900 MWe prennent de nombreux mois certains ont déjà bénéficié des modifications, tandis que l'objectif d'EDF est qu'ils aient tous passé leur visite décennale d'ici à 2027, puis viendra le tour des réacteurs de MWe, plus récents. »La découverte de corrosion sous contrainte a changé la donneSi les visites décennales sont prévues et calées pour optimiser le fonctionnement du parc nucléaire, la corrosion a, elle, changé la donne, notamment après les effets de l'épidémie de Covid. Mais à quoi correspond-elle ? C'est durant la visite décennale de Civaux 1 qu'elle a été décelée, grâce à des contrôles par ultrasons qui permettent de vérifier la présence de défauts dans les tuyauteries au niveau des soudures », explique O. corrosion sous contrainte correspond à l'endommagement d'un matériau sous l'effet de son environnement chimique. Là où EDF a trouvé des fissures de corrosion sous contrainte, les tuyauteries étaient en acier inoxydable, donc les experts ne s'y attendait pas a priori, poursuit O. Dubois. Les fissures se situent au niveau du circuit d'injection de sécurité, qui permet de continuer à refroidir le réacteur en cas de brèche du circuit primaire plus précisément, au niveau de sa jonction avec le circuit primaire. »Comme l'explique Olivier Dubois, la corrosion a d'ailleurs très probablement été activée justement à cause de cette proximité avec le circuit primaire. En effet, la température y avoisine les 300 °C, ce qui peut activer la corrosion. Les défauts se situent à proximité de soudures, directement au niveau de la tuyauterie. Ils ne sont pas liés à l'âge du réacteur, car présents notamment sur les réacteurs les plus récents du parc nucléaire, les N4, mais probablement liés au chargement mécanique qui s'exerce sur les soudures. » L’exploitant EDF a annoncé des réparations sur les réacteurs touchés, mais qui pourraient prendre de quelques mois jusqu'à plusieurs années pour être finalisées à l'échelle du parc nucléaire français, et en fonction de la liste de réacteurs affectés qui sera établie à l'issue de l'ensemble des par ce que vous venez de lire ?
\n\n \n moteur que l on trouve dans une centrale nucléaire
Pourfaire cette électricité, une centrale nucléaire utilise ce que l’on appel le combustible nucléaire qui est de l’uranium qui va faire chauffer de l’eau pour obtenir de la vapeur. La pression de cette vapeur fait tourner une turbine à très grande vitesse et la turbine entraîne un alternateur qui va produire de l’électricité.
Deux militants de Greenpeace comparaissent mercredi 17 octobre devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, le premier pour avoir survolé en parapente la centrale nucléaire du Bugey Ain, le second pour s'être présenté à l'accueil de la même centrale. L'action commando s'était déroulée entre les deux tours de la présidentielle, le 2 mai, et a été filmée par un drone télécommandé par des militants. La suite après la publicité Greenpeace survole la centrale nucléaire du Bugey par LeNouvelObservateur Le directeur de la centrale du Bugey, Alain Litaudon, avait estimé ce jour-là que "Greenpeace n'a rien démontré" en termes de failles. "L'interpellation a eu lieu en huit minutes" après la détection, avait-il plaidé, jugeant que l'événement démontrait "très clairement que le dispositif de sécurité est efficace". Alexandre Faro, avocat de Greenpeace qui défendra les deux intrus de la centrale de Bugey, n'est pas de cet avis... Que s’est-il passé précisément à la centrale de Bugey le 2 mai dernier ? - Un parapentiste à moteur, Kai Von Scietentron, 29 ans, un allemand, a survolé le réacteur de la centrale de Bugey pour en montrer la vulnérabilité. Or, il a dû se poser en urgence entre les deux bâtiments réacteurs parce que sa voile s’est pliée. On le voit sur la vidéo. Il est poursuivi pour "survol d’une zone interdite". L’autre prévenu, Jonathan Palais, 33 ans, est poursuivi pour "complicité". Son rôle a été mineur. Il est venu demander des nouvelles du pilote à la guérite d’accueil de la centrale. Mais lors d’une perquisition dans sa voiture, la police a trouvé un GPS qui indiquait le chemin pour venir à la centrale, une carte du secteur…La suite après la publicité Quelle sera votre ligne de défense ? - Je vais faire une défense en droit. L’infraction pénale qui a été retenue, "survol d’une zone interdite", ne tient pas. Les centrales nucléaires ont effectivement été déclarées zones interdites en 2002, à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Pour certaines centrales, comme la Hague, l’interdiction est définitive. Mais pour d’autres, dont Bugey, elle était temporaire sans que l’on sache jusqu’à quand elle court. Je vais donc soulever l’illégalité de cet arrêté, qui ne prévoie pas de terme à l’interdiction "temporaire". C’est le même type de défense que vous aviez développé pour les autres militants de Greenpeace, qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas en décembre 2011… - Ce sont les mêmes problématiques. En l’occurrence, Nogent et Cruas était officiellement protégées comme des sites militaires des pancartes indiquent tout autour qu’il s’agit de sites militaires et qu’y pénétrer entraîne une peine de 6 mois de prison. Or primo, elles n’ont pas de lien explicite avec des activités militaires. Et secondo, les militants qui s’y sont introduits ont été accusés de "violation de domicile". Sur les centrales nucléaires, les notions juridiques ne sont pas clairement établies. Or le droit pénal n’a pas le droit d’être suite après la publicité Les prévenus considèrent-ils avoir réussi leur mission ? - Oui bien sûr ! Ils ont encore une fois mis à mal la communication d’EDF. L'entreprise a qu’elle avait bien repéré qu’il s’agissait d’un parapente Greenprace, raison pour laquelle elle n’a pas déclenché le plan hors-sec. Or quelques jours plus tard, un autre parapente a survolé par erreur une autre centrale, Saint-Alban, au sud de Lyon, et EDF a fait envoyer un Mirage 2000… Tout ceci montre qu’il n'y a pas de réponse adaptée. EDF ferait mieux d’admettre la vulnérabilité des centrales ! Que risquent les deux prévenus de Bugey ? - Un an de prison et euros d’amende. Autrement dit, on risque plus en survolant une centrale qu’en pénétrant par voie terrestre, où l’on risque 6 mois de prison !La suite après la publicité Où en sont les militants qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas ? Pour ceux qui se sont introduits à Nogent, le tribunal de Troyes s’est dit incompétent. La Cour d’appel de Reims les a reconnus coupables et les a condamné à 6 mois de prison. Nous nous sommes pourvus en cassation pour que la Cour annule ce jugement. On ne peut avoir une interprétation extensive du droit pénal. Quant à ceux qui sont entrés dans la centrale de Cruas, ils ont été relaxés par le tribunal de Privas, et renvoyés devant la Cour d’appel de Nîmes, qui a mis l’affaire en délibéré jusqu’au 23 novembre. Propos recueillis par Morgane Bertrand le 17 octobre 2012 - Le Nouvel Observateur

Laplupart des centrales solaires à concentration ont une meilleure performance que les centrales nucléaires et certaines sont à égalité avec celles à charbon. Cependant, la production d'énergie solaire par concentration dépend d'un rayonnement direct normal presque parfait qui ne se trouve généralement que dans les régions de type désertique. Il peut donc

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l'essentiel Pour la deuxième fois en moins de 24h, la plus grande centrale nucléaire d'Europe, située dans le sud de l'Ukraine, a été bombardée. Détenue aux mains des Russes depuis début mars, la centrale de Zaporijia inquiète l'Agence internationale du nucléaire, qui redoute "une catastrophe nucléaire". Aux mains des Russes depuis début mars, la centrale nucléaire de Zaporijia cristallise toutes les tensions. La plus grande centrale d'Europe a été bombardée une deuxième fois dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, après un premier bombardement vendredi. "Trois détecteurs de surveillance des radiations autour du site de la centrale ont été endommagés .... Par conséquent, il est actuellement impossible de détecter" une éventuelle hausse de la radioactivité et donc d'"intervenir en temps utile", a affirmé la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom. A lire aussi Guerre en Ukraine un risque de "catastrophe nucléaire" redouté à la centrale de Zaporijia À la suite du premier bombardement vendredi, la compagnie ukrainienne avait affirmé que les bombardements avaient "gravement endommagé" une station renfermant de l'azote et de l'oxygène et un "bâtiment auxiliaire". "Il existe toujours des risques de fuite d'hydrogène et de substances radioactives, et le risque d'incendie est également élevé", a-t-elle souligné. Les deux pays s'accusent mutuellement "Il n'y a pas une seule nation au monde qui puisse se sentir en sécurité lorsqu'un Etat terroriste bombarde une centrale nucléaire", a réagi dans sa vidéo quotidienne le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Mais comme pour les bombardements de vendredi, les Russes accusent l'Ukraine d'avoir bombardé la centrale. A lire aussi Ukraine Kiev et Moscou s'accusent de mener des frappes près de la centrale nucléaire de Zaporijia Les autorités d'occupation de la ville d'Energodar, où se trouve la centrale de Zaporijjia, ont ainsi affirmé que l'armée ukrainienne avait tiré dans la nuit de samedi à dimanche un engin à sous-munitions avec un "lance-roquettes multiple Ouragan". "Les éclats et le moteur de la roquette sont tombés à 400 mètres d'un réacteur en marche", ont-elles poursuivi, ajoutant que cette frappe avait "endommagé" des bâtiments administratifs et touché "une zone de stockage de combustible nucléaire usagé". Parallèlement, la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom a annoncé qu'un des employés sur place avait dû être hospitalisé pour des "blessures causées par l'explosion" d'une des roquettes tirées "samedi soir" par les Russes. "Un vrai risque de catastrophe nucléaire" "Toute attaque contre des centrales nucléaires est une chose suicidaire", a condamné le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres lundi matin à Tokyo. "J'espère que ces attaques prendront fin. En même temps, j'espère que l'AIEA pourra accéder à la centrale" de Zaporijjia. Selon Rafael Mariano Grossi, directeur de l'agence internationale pour l'énergie atomique IAEA, ces frappes démontrent un "vrai risque de catastrophe nucléaire pouvant menacer la santé et l'environnement en Ukraine et au-delà". L'AIEA avait jugé samedi "de plus en plus alarmantes" les informations en provenance de la centrale de Zaporijjia, dont l'un des réacteurs a dû être arrêté après l'attaque de vendredi. Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a quant à lui dénoncé "la violation irresponsable" des règles de sécurité nucléaire par la Russie. Face aux tensions qui se multiplient autour de la centrale, l'AIEA a réitéré samedi son intention de conduire une mission d'experts sur place, d'après Franceinfo. Une proposition rejetée jusqu'à présent par l'Ukraine par peur que cela ne légitime l'occupation russe du site.
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moteur que l on trouve dans une centrale nucléaire