Moiet ma femme. Nous avions fait le premier pas. Tranquillement installés sur un canapé posé dans une alcôve de cette boîte de nuit échangiste. Puis deux hommes se sont approchés doucement de nous - leurs sexes dressés de plus en plus près du visage de ma femme. Elle m'a alors regardé avec de grands yeux étonnés. Elle a soudain Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une agence de pub. Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari, Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans. Je suis plutôt grande 1m75 avec de longues jambes ayant comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon adolescence. On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà, j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas prier pour attirer les convoitises. J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement, bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel. Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans, avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter… j'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que ça devait se passer dans une relation stable. Je m'habillais de façon très classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je ! Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée, BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la seule et l'unique. Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien, ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la boîte. Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution. Il me prenait très certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait ! Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché… Pierre me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte. J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai d'écourter ce cuissage intempestif. En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait tout vu » selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres... Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me pardonner - Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le jure… » - Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux ! » - Marc, je…. » - Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup là ! » Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot… Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur… il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement, entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un tel état. Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche, rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse… Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage. C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse, complètement dominée… Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à me débarbouiller, il me lança depuis le salon - Ce n'était qu'un début, tu vas me le payer ! » - … - Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous quelque chose de bon ! » - Mais Marc, je n'ai pas… » - Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à 20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là… » et il claqua la porte. Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque peur… mais force est de constater que j'étais trempée. Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie ! J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas ! Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque, plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours ! C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc restait bassement un homme blonde, une poitrine énorme toujours en évidence cette fille ne portait jamais de soutif !, un petit cul rebondi doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais… - Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma femme » me lança Marc sur un ton conquérant. Je restais sans voix… sa femme… - Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais te montrer qui est le maître ici… » - Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer, tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de quoi ! » insista Emilie avec un sourire en coin. - Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est attirante, elle ! File ! » Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le ventre noué. Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre ça !! Quel horreur ! Le string n'étais même pas propre, il portait encore son odeur intime… Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le coup, comme une pute. Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un peu partout dans mon salon. Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée, elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance. Je n'en revenais pas cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe gourmande effectuée par cette experte blonde ! Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la prenait par derrière. Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à leurs yeux. Soudain, Marc m'aperçut - Tu vois que tu peux être bandante toi aussi ! » me dit Marc. Mais ne reste pas là bêtement, ramasse nos fringues et sers nous à boire ! » Emilie se redressa de son jouet et dit - Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi le voir ! » - Et réponds quant on te parle, tu te crois où !!? » - Mais oui ! » dis-je à voix basse sur un ton agacé. - Attends, répète un peu ? Je veux entendre oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement. - Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée. » J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris mon cul. - Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie. Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le porter ! » J'enlevai donc le sous-vêtement rouge. - T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte ! » Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique, les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser, comme exigé par Emilie. Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils jouirent vraisemblablement en même temps. Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers moi - Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou tu risques de le regretter ! » Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer, comme elle me l'avait précédemment ordonné. Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau, allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses cuisses. Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage, insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela, curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir… je glissai un doigt en direction de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa vulve. J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus profond… Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante, les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques, lourds, fermes. Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se stoppa net derrière moi. - Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi ton cul, que je vois si tu es capable de te raser correctement ! » - Bien madame… » dis-je. D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle. Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable. Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un tu aimes ça salope », tu le mérites, crois mois » à chaque claque. Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire. - Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la sodomie ? » - Si, si » fit Marc, satisfait de la question - Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de revenir avec un gode monstrueux. - Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien normal. Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en manque ! » - Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et les voisins ?! » - Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le premier venu ! Obéis ou sinon… » insista Marc. A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de notre salon donnant sur la route. Emilie se mit derrière moi et enfonça d'abord un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration. Elle fit des allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses doits et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Emilie insista jusqu'à me l'enfoncer jusqu'à la garde. La douleur était atroce, les larmes coulaient sur mes joues… J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus. J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça… - C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée, sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance. - Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant s'approche » dit impassiblement Emilie. Je veux que tout le quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras à quatre pattes et il te sodomisera, ce sera d'ailleurs ta seule pénétration et ton ultime punition. Enfin, je compte bien passer quelques soirée avec mon chéri dans ta chambre, dans ton lit, et je ne veux pas que tu sois dans les parages, tu découcheras donc ces soirs là ! » - Nous sortons, ce soir nous dînons au resto » lança Marc et à notre retour, tu auras nettoyé tout ce bordel… » C'est ainsi que je pris conscience qu'on ne changeait pas... J'aimais le sexe, je vivais désormais pour ça et je ne pouvais me contenter de peu… Le soir même, je quittais la maison… j'étais enfin celle que j'ai toujours été une salope. Auteursandrine la salope © 2000 Docile tout droits réservés OKLMInsolite Suivre Un homme équipé d'un caméra cachée fait une expérience sociale dans la rue sur la fidélité et l'argent. Il propose de l'argent à un couple d'inconnus pour le laisser coucher avec la femme en donnant d'abord 1000$ pour attirer l'attention puis une liasse de 10000$. ◉ Compositeur de musique, Auteur & Artiste ◉ Fondateur des ateliers artistiques VinT' Art ◉ Fondateur du Vintoreium studio d'enregistrement & laboratoire artistique ➡️ Activités non lucratives et bénévoles🔗 infos © Tous droits réservés sur les oeuvres par signature électronique - technologie Blockchain Bitcoin / © All rights reserved - Blockchain Bitcoin technology.➤ Vincent Thomas Rey soumet ses oeuvres uniquement aux droits moraux et non patrimoniaux, afin de conserver le caractère non lucratif de son travail.🔗 infos blockchain infos droits d'auteur * Site officiel * Page Facebook * BIOGRAPHIE ARTISTIQUE - Vincent Thomas Rey naît le trois février 1984 en région parisienne à Saint-Maur-Des-Fossés, d'un père écrivain, journaliste et photographe et d'une mère au foyer artiste-peintre. * Ses débuts Dès son plus jeune âge, il compose de la poésie et de la musique. Ayant plus d'affinités avec cette dernière, il choisit d'entrer au conservatoire classique de Roissy-en-Brie à l'âge de six ans pour y apprendre les bases du solfège et plus tard du piano. Son père, rédacteur en chef du journal hebdomadaire parisien "L'Officiel des spectacles", lui donne très tôt le goût de la culture. Ami avec la fille de Bernard Meillat, directeur des programmes musicaux de "Radio Classique", il a la chance de pouvoir y faire un stage et d'accéder aux grandes salles de concert parisiennes dont la "Salle Pleyel" ainsi qu'aux enregistrements de "Radio France". Adolescent, lassé par le carcan trop académique du conservatoire, il quitte celui-ci et décide de s'initier au jazz en prenant des cours particuliers de piano à Paris, rue poissonnière, près du "Grand Rex". A quatorze ans, il apprend également la guitare en autodidacte et se passionne pour le blues puis rapidement pour le rock et le métal. Il crée plusieurs groupes de musique locaux et fait ainsi ses premières armes sur scène. A dix-huit ans, son baccalauréat scientifique en poche, il entre à l'université où il obtiendra son diplôme avec mention dans les "Arts du spectacle, métiers du son". Il se perfectionne alors en musicologie, en composition, en musicothérapie, en organologie mais également en art cinématographique et en art scénique. Il reprend goût à la musique classique de ses débuts et y découvre la musique concrète de Pierre Schaeffer et la musique minimaliste qui le suivront tout au long de ses compositions futures, l'album "Minima" est très marqué par ces influences. Suite à l'écoute de sa composition électroacoustique "Cuisine Infernale" à l'auditorium universitaire, il se fait repérer par le corps enseignant et en particulier par Sylvie Dallet, directrice du "Centre d’Etudes et de Recherche Pierre Schaeffer", qui lui propose de participer au "concours international de musique électroacoustique de Bourges" pour se faire connaître en tant que compositeur électroacoustique. Malgré son intérêt certain pour la musique expérimentale, il sent qu'il doit conserver le caractère mélodique de ses compositions et décline l'offre. En 2004, ses parents, déjà malades, décèdent. Il compose alors les "Anamnèses" en leur hommage. L'année suivante, de manière anecdotique, il profite de son cursus universitaire pour faire un stage à la médiathèque de son enfance et goûter, avec le bonheur d'être triste, à la médiation culturelle des supports audiovisuels. Enfin, loin des considérations familiales, l'économie et la finance attisent sa curiosité. Il entreprend donc des études dans ces domaines et exerce en tant que consultant. * Les Ateliers VinT' Art Ce n'est qu'en 2008, qu'il décide de quitter la région parisienne pour s'installer sur la côte bretonne et revenir pleinement à la composition musicale et à la poésie. En mémoire de ses parents, il y crée les ateliers artistiques pluridisciplinaires "VinT' Art" dédiés à la musique, à la poésie, à la peinture et à la photographie. A son arrivée, fasciné par la beauté des paysages, le milieu marin et leurs jeux de lumière, il commence à étudier la propagation et la perception de la lumière réflexion, clair-obscur, radiance..., afin de l'intégrer dans ses tableaux et dans ses photographies, en particulier dans les collections "Résilience", "My Window Is Yours", "Sentiment Océanique", "Black Mirror", "O Solis", "Miroir D'Opale et "Structures". Depuis maintenant une dizaine d'années, il explore en profondeur les côtes du littoral breton avec un attachement spécifique pour les côtes de Penthièvre, du Goëlo et la côte de Granit Rose. * Vintoreium un pont entre les arts et les sciences Quand il n'est pas dans son studio d'enregistrement ou dans son atelier, il est dans son laboratoire baptisé "Vintoreium ". Il y expérimente de nouveaux outils créatifs et de nouvelles techniques artistiques à partir de ses dernières découvertes faites lors de voyages, de bains de forêt ou d'observations de phénomènes naturels. * Minéralogie et recherche sur la lumière Il poursuit ses recherches artistiques sur la lumière en s'intéressant à la minéralogie, en particulier aux propriétés optiques des minéraux. Il part les observer dans plusieurs pays du monde comme l'Islande, l'Indonésie et l'Italie. La collection "K'an" lui est consacrée. * Croyances et syncrétisme assumé Bien que très respectueux des valeurs catholiques du côté paternel et des valeurs bouddhistes/hindouistes du côté maternel, il s'en éloigne pour s'intéresser à d'autres religions, à la cosmologie et à la philosophie au sens large. Il se passionne essentiellement pour le taoïsme, la phénoménologie selon Husserl et pour les théories de Jung, Spinoza, Krishnamurti et René Guénon, très présentes dans ses oeuvres voir la collection "Individuation". * Voyages et sources d'inspiration Depuis une dizaine d'années, ses nombreux voyages dans le monde avec sa femme et son attachement pour ses origines eurasiennes lui permettent d'enrichir à la fois son univers musical classique avec des influences venues d'ailleurs, mais aussi d'approfondir ses recherches sur la lumière en milieu naturel. En Islande, il découvre les contrastes des couleurs et à Barcelone, l'association des couleurs vives et des formes géométriques, ainsi que l'architecture organique de Gaudí voir la collection "Hexa". * Art et pédagogie Curieux, avide de connaissances et autodidacte, il comprend dès l'enfance qu'il lui faut rapidement inventer des systèmes pour apprendre et mémoriser tout ce qui l'intéresse. Il fait naturellement appel à ses sens et à son imagination pour créer des histoires et des analogies, afin de donner vie à ses nouvelles notions et ainsi mieux les assimiler. Il réalise bien plus tard qu'il a construit au fil des années ce que l'on appelle un palais mental. Il décide alors d'employer ses compétences artistiques et synesthésiques, ainsi que ses facultés de mémorisation, au service d'enfants en difficulté scolaire. Il s'associe avec sa femme enseignante et développe des outils pédagogiques favorisant l'apprentissage et la mémorisation, comme par exemple la création de moyens mnémotechniques par associations imagées cartes heuristiques... ou linguistiques, de jeux de mémoire auditive et de codes chiffres-sons ou bien l'usage de l'imagination dirigée utilisation des 5 sens et invention d'un palais mental. Il propose également une orientation minutieuse concernant l'utilisation de la musique pour ses bienfaits sécrétion de dopamine par exemple sur la gestion du stress, l'amélioration de la concentration et de la mémorisation en classe. En effet, inappropriée, elle peut être contre-productive. Il s'intéresse particulièrement à la musique baroque et à la musique classique ayant des mouvements lents, propices au perfectionnement de la concentration et de la mémoire. * DÉMARCHE ARTISTIQUE - * Processus créatif • Poésie introspective Il décrit son art comme une poésie introspective où se mêlent émotions et réflexions. Il utilise la technique au service de ces dernières et rarement pour elle-même. Sa vie personnelle et son imagination active lui permettent de voyager entre son inconscient et sa conscience. De là, éclot son univers artistique où il peut exprimer sa sensibilité au travers de ses rêves, de ses fantasmes, de ses émotions et de ses réflexions. C’est l’âme renaissante, le cœur romantique et l’esprit moderne, qu’il évolue comme une élixhydre sur son chemin spiralé. Ainsi, sa créativité multiple peut s’affranchir sans oublier d’où elle vient. • Perception synesthésique Son expérience sensorielle lui apprend très jeune qu'il est synesthète. Il découvre alors que tous les sens pourraient trouver leur origine en une seule et même chose, la vibration. Par conséquent, il pense que les frontières entre chaque discipline artistique sont minces et n'hésite donc pas à écrire de la poésie avec la musicalité d'un musicien, à composer de la musique avec les gestes d'un peintre ou encore à peindre et à photographier avec l'âme d'un poète. • Énergie créatrice entre Dionysos et Apollon Sa créativité provient, selon lui, du combat permanent entre ses pulsions dionysiaques et ses pulsions apolliniennes. A l’instar du yin et du yang chez les taoïstes, ces forces divines à la fois antagonistes et à la fois complémentaires, entrent en collision et forment l’énergie lui étant nécessaire pour créer. Ce n’est d’ailleurs peut être pas tout à fait un hasard quand on sait qu’en hommage à ses ancêtres paternels viticulteurs du Beaujolais, ses parents lui donne comme prénom celui du saint patron des vignerons et que son nom de famille maternel "Lebrillant" correspond à la traduction française de Phoebus, nom latin d’Apollon. * VinT' Art Paintings abstraction théâtrale, symbolisme et rapport au sacré • Symbolisme Il aime transposer une idée en image et il crée dans ses tableaux des analogies suggestives permettant de révéler l'invisible derrière le visible. • Théâtre d'ombres, de lumières et de formes Majoritairement numériques et abstraits, ses tableaux mettent en scène les ombres, les lumières et les formes. Elles y sont représentées comme les actrices principales de son théâtre où elles interprètent des êtres vivants, des éléments architecturaux, des éléments naturels ou bien sacrés... - Ombre et lumière L'ombre et la lumière sont omniprésentes par l'utilisation de dégradés, de clair-obscur, d'ombres portées, de lumières directionnelles ou diffuses avec leurs ombres dures ou douces, de radiances, de textures brillantes et vitreuses et d'effets de reflet et de transparence. - Formes organiques spiralées et formes géométriques Il utilise des formes abstraites, organiques et spiralées aux contours souples évoquant la nature et des formes géométriques inspirées du suprématisme de Malevitch, de l'art minimal d'Ad Reinhardt et de la géométrie sacrée. * VinT' Art Photos animisme, de la vie à la vie C'est dans les forêts d'Asie du Sud-Est et au contact de leurs ethnies animistes qu'il commence à méditer sur le principe que toutes choses seraient dotées d'une âme ou d'un esprit comme les pierres, les arbres, les éléments naturels...De là, il travaille la lumière et le mouvement de ses photographies dans le but de personnifier les éléments qui y figurent, comme l'arbre observant son reflet dans l'eau voir la collection "Miroir D'Opale, série Opallion" ou bien le soleil et la lune se cachant derrière les feuillages voir la collection "Navagrahâ, série Sûrya & Soma". • Capture d'une nature sensible, résiliente et cosmopolite De par leurs ondulations gracieuses, leurs mouvements d'une grande diversité, l'élégance et la souplesse de leurs courbures, ce sont les graminées présentes aux quatre coins du globe qui le fascinent le plus. Au cours de ses voyages, à la manière d'un "dendrolâtre", il capture avec son appareil photo ces filles du vent et de la lumière à la fois sensibles et résilientes. Leur allure graphique et la beauté de leur inflorescence se dévoilent à lui dans des jeux de lumière au soleil couchant voir la collection "Résilience I, II et III". • Crépuscule le passage de la conscience à l'inconscient/savoir mourir pour mieux renaître Le crépuscule lui apparaît comme la manifestation du passage entre le monde de la conscience et le monde de l'inconscient, mais également comme l'expression métaphorique, selon le concept bouddhiste, de l'homme qui meurt chaque soir pour renaître chaque matin afin de se réinventer toujours un peu plus. Depuis 2010, il se met assidûment à la photographie quasi journalière du coucher du soleil voir la collection "My Window Is Yours". • Fascination pour l’éphémère La nature ne le fascine pas uniquement pour sa résilience, mais également pour son caractère éphémère. Suite à sa découverte du "Mono no aware" japonais, il sort sa collection "Ephémorphe" de photos de papillons, emblème de la femme et symbole du bonheur conjugal au Japon, en leur donnant des noms de danse. * VinT' Art Musics musique classique empreinte de modernité et d'ethnicité • Musique tonale et découverte d’autres modes musicaux Il structure ses compositions sur fond de musique tonale avec son mode majeur et son mode mineur. Ayant très tôt une attirance toute particulière pour ce dernier avec sa gamme mineure harmonique et sa note sensible, il ajoute à sa musique de la modernité avec des parties chromatiques et des passages répétitifs lui permettant ainsi de créer des mélodies mélancoliques aux couleurs légèrement orientales. Il étudie ultérieurement les modes ecclésiastiques et les modes pentatoniques d'extrême-orient modes japonais, chinois, indiens et balinais, qu'il découvre lors de ses voyages pour obtenir un spectre plus large de couleurs sonores et les intégrer avec parcimonie. • Évolution d’une musique tonale à une musique polymodale L’utilisation de plus en plus importante des modes ecclésiastiques et des modes pentatoniques d’extrêmes-orient dans sa musique la fait parfois basculer du monde tonal avec ses gammes majeures, ses gammes mineures et ses modulations/tonulations successives au monde polymodal où plusieurs modes coexistent simultanément dans une même phrase musicale, à l’image de Fauré - à ne pas confondre avec le jazz modal qui utilise un mode différent pour chaque accord plaqué ou la musique atonale, sans tonalité -, créant ainsi une ambiguïté à déterminer le mode dominant du morceau. • Instrumentation et usage de l'électronique Partant du piano et de la guitare qui sont ses instruments de prédilection, il ne cesse d'enrichir et de faire évoluer sa musique en faisant appel à la musique du monde et à la musique antique pour leurs rythmes envoûtants et leurs instruments aux timbres variés, aux instruments virtuels pour leurs sons électroniques, ainsi qu'aux paysages sonores. • Dramaturgie sonore A partir de sa signature artistique, il crée différents univers musicaux qu’il aime décrire comme son théâtre sans corps ou son cinéma sans images, laissant libre court à l’imagination de l’auditeur. Ce dramaturge du son pense donc ses compositions comme des films sonores avec leurs passages narratifs et leurs passages descriptifs. Les bruitages plantent le décor, les fondus sonores, souvent présents en plein milieu d’un morceau, ponctuent ce dernier en plusieurs séquences comme au cinéma ; les multiples variations de tempo simulent des ellipses ou au contraire des pauses descriptives et enfin les nombreux mouvements panoramiques, les effets de volume et de réverbération modèlent l’espace. Tout cela n’est pas sans rappeler les techniques utilisées dans la fiction radiophonique. Cependant, la musicalité de ses œuvres reste pour lui un point fondamental. • Pulsation organique Afin de donner un aspect moins mécanique et plus organique à la pulsation de ses compositions, il utilise le rubato variation de tempo, créant ainsi des courbes d’enflement et des courbes d’apaisement à l’image des battements du cœur voir l’album "Minima". • Première période musicale 2004-2019 Ayant commencé à composer sérieusement à partir de 2004, à l’âge de vingt ans, c’est en 2019, à l’âge de trente-cinq ans, qu’il décide de clôturer sa première période de composition musicale. Ces quinze années sont ponctuées principalement par des morceaux mélancoliques, tristes, parfois sombres, mais possédant toujours une note d’espoir et de lumière. Avec le recul, il les analyse comme "sa renaissance saturnienne mineure" ; et quand on lui demande sur quelle planète prendront vie ses futures compositions, il répond que seul son vaisseau de la création le sait... Discographie complète * VinT' Art Poems poésie musicale et semi-classique, entre règles et transgressions Proche de la sensibilité des poètes maudits, en particulier de celle de Verlaine pour son sens musical, il écrit ses poèmes en respectant en grande partie les règles de versification de la poésie classique. Il attache une grande importance à la ponctuation, à l'assonance et à l'allitération, à l'anaphore et à l'anastrophe qui, selon lui, apportent à sa poésie un véritable sens du rythme et une musicalité proches de la musique minimaliste "répétitive". Il privilégie la synérèse à la diérèse, offrant une diction plus fluide, plus moderne et un style moins soutenu. S'il aime parfois employer l’enjambement, le rejet et le contre-rejet, il s'affranchit en revanche de la règle de l'alternance entre les rimes masculines et les rimes féminines pour une expression plus libre. Par ailleurs, il nous révèle que le poème d’un seul quatrain et la citation en un seul alexandrin font partie de ses exercices favoris. Il aborde dans sa poésie des sujets sérieux et chers à son cœur comme la résilience, le courage, le cosmopolitisme, la méritocratie, la mort, la souffrance et la solitude, le pardon, l'absence de jugement ; ou plus légers comme le plaisir charnel, les pulsions et la nature. Liste complète des poèmes "© Biographie et Démarche Artistique soumises au Droit d'Auteur". * LIENS - Ateliers VinT' Art - * VinT' Art - Ateliers * VinT' Art - Paintings * VinT' Art - Photos * VinT' Art - Musics * VinT' Art - Poems PHOTOS & TABLEAUX - * Galeries Tableaux * Galeries Photos * Page Flickr N04/sets/ * Page Google + * Page Picasaweb * Page Tumblr * Page Twitter * Page Pinterest * Page Upside Art * Page Deviant Art * Page Weoneart * Page Artquid MUSIQUES - * Discographie * Page Myspace * Page Soundcloud * Page Reverb Nation Playlist Reverb Nation * Page Zicmeup POEMES - * Livrets de poèmes
Adultère- Il surprend sa femme dans une maison close. Certains bars des abords de Djicoroni Para (une localité de la capitale malienne) sont devenus des lieux de refuge pour des hommes et des
– Comme on le dit chez nos frères ivoiriens “plusieurs jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire”. Une femme infidèle a été prise en flagrant délit avec le meilleur ami de son mari. Le mari qui avait oublié d’éteindre son appareil photo numérique, a eu la surprise de sa vie lorsqu’il a découvert les images. A LIRE AUSSI Un jeune Goorjigen » pris en flagrant délit par ses parents Le mari M. Yang a révélé que la scène s’est produite en 2016 en Chine. C’est en laissant son appareil allumé pendant le chargement qu’il a découvert le vrai visage de sa femme du nom de Cui Hua. En effet, cette dernière aurait profité de son absence pour inviter son ami M. Lui à la maison. Dans les images, on voit l’amant commencer à enlever les vêtements de la femme mariée après la salutation. A LIRE AUSSI Un jeune pris en flagrant délit de vol d’un iPhone X M. Yang a jouté qu’il avait gardé les images parce que son fils était en plein préparation d’examen d’entrée à l’université. C’est en janvier 2018 qu’il a ensuite divorcé. Il a été ignoré après avoir informé le gouvernement local. “Si cela est vrai, ils [les fonctionnaires] m’auraient averti”, explique Cui Hua qui a d’abord affirmé que M. Liu était son collègue avant de nier le fait que ces images soient prises avec un caméra de contrôle. Elle dit être filmée par une caméra cachée. Voici la vidéo Adultère- Il surprend sa femme dans une maison close. Certains bars des abords de Djicoroni Para (une localité de la capitale malienne) sont devenus
Nous avons rencontré une femme dont la vie a été brisée en quelques minutes. Elle n’est malheureusement pas un cas isolé. Dans le cadre de sa thérapie, il lui a été conseillé de parler de son histoire. Elle vous la confie aujourd’hui. Je m’appelle Isabelle. J’ai 47 ans. Pour l’instant, je ne travaille plus, mais lorsque ma vie était calme j’occupais un poste d’Assistante de Direction dans un grand groupe. Ma vie n’a pas toujours été facile, je me suis mariée très jeune à 19 ans. Mon mari avait 25 ans et moi 22 ans lorsque notre petite fille est née. Nous l’avons élevée avec tellement d’amour. Quand elle a eu 6 ans, mon mari est mort dans un accident de voiture. Ça a été un véritable déchirement. J’ai perdu tous mes repères. Ma famille habitait loin, j’étais livrée à moi même pour toutes les démarches. Il m’a fallu accuser le coup et rester debout pour ma petite fille. Dans les mois qui ont suivi les obsèques, la famille de mon mari venait de moins en moins nous voir et peu à peu nous n’avons plus eu de nouvelles. C’est vrai que ma fille ressemble beaucoup à son papa physiquement, peut-être que la voir leur était devenu difficilement supportable, je ne sais pas. Je me suis accrochée, j’ai trouvé un poste de secrétaire, les horaires étaient plus simples pour moi, ça me permettait de m’adapter à l’école. Financièrement c’était très dur, car j’ai dû faire face aux dettes, nous avions acheté une petite maison en banlieue et bien sûr suite au décès je n’ai pas pu assumer seule. J’ai donc revendu la maison, et laisser partir le peu de souvenirs que j’avais avec mon mari ici. Une épreuve parmi tant d’autres en fait à ce moment-là… Ma fille était en bonne santé c’est tout ce qui comptait pour moi. J’ai trouvé un petit 2 pièces en location dans la même ville et j’ai remboursé les crédits. Ma fille a grandi sagement, je n’ai jamais eu de problèmes avec elle, elle avait de bonnes fréquentations , travaillait bien à l’école, et on avait réussi à établir une belle relation de confiance. Je peux même dire que nous étions assez complices. Elle a toujours été ma plus grande fierté. Lorsqu’elle a eu son bac, j’avais économisé en ne partant pas en vacances pendant plusieurs années pour lui permettre d’entrer dans une grande école de commerce. Durant l’été qui a précédé sa grande rentrée, il y a 6 ans, j’ai été invitée à un mariage. C’est là que j’ai rencontré cet homme, celui qui allait réussir à me réconcilier avec l’amour. Car oui durant toutes ces années je suis restée seule. La mort de mon mari avait été un trop grand choc et ma priorité était ma fille. Il est venu vers moi un peu comme dans les films, c’était drôle, tout comme lui d’ailleurs. Aussi drôle que séduisant. Il avait le même âge que moi. Il a très rapidement voulu faire des projets, mais s’est montré très patient lorsque je lui ai expliqué ma vie et le temps dont j’avais besoin. Il a respecté mon rythme. Il était là pour moi, tout le temps. Si j’allais faire des courses après le travail je pouvais le retrouver devant le supermarché pour m’aider à porter un simple sac. Il m’offrait des fleurs chaque semaine. Il m’a ensuite proposé de rencontrer sa famille qui pour la plupart habitait aux Antilles. Quelques mois après nous avons donc pris l’avion pour la Guadeloupe – sans ma fille. Toute sa famille s’est montrée adorable avec moi, j’ai tissé des liens très forts avec sa mère et sa grand-mère. J’avais ce sentiment de faire partie de la famille. Lorsque nous sommes rentrés en Métropole c’était à moi de lui présenter ma fille, j’appréhendais ce moment, j’avais peur, peur qu’elle m’en veuille ou m’accuse de vouloir effacer son papa, ou peur qu’elle ne l’apprécie pas. Je lui ai donc présenté un soir au restaurant. Ella a été très froide, mais est restée polie par respect pour moi. Je sentais que cette nouvelle étape de ma vie la dérangeait, mais je me suis dit qu’avec le temps tout s’arrangerait… Notre relation se renforçait et il a naturellement évoqué le souhait de nous voir nous installer ensemble, mais même au bout de quelques années, je n’étais pas prête. Je préférais qu’il vienne passer les soirées à la maison ou vice-versa. À plusieurs reprises il m’a proposé d’inclure ma fille dans nos sorties, dans nos week-ends, j’étais touchée par son attention et avait vraiment le sentiment qu’il faisait des efforts pour améliorer sa relation avec ma fille. J’essayais aussi de privilégier des moments mère-fille en solo avec elle afin qu’elle ne se sente pas mise à l’écart même si elle avait la vingtaine. On se faisait des journées shopping, un jour elle m’a même demandé de la conseiller pour la couleur d’un ensemble de lingerie qu’elle voulait s’acheter, ça m’a un peu chamboulée, ma fille n’était plus un bébé, c’était une femme. J’étais heureuse qu’elle ai un petit ami et qu’elle se montre féminine. Même si je ne posais pas de questions par pudeur. Je remarquais que ma fille devenait de plus en plus sexy, elle s’apprêtait systématiquement à la maison. Je sentais bien qu’il y avait un amoureux caché là-dessous. Lorsque je lui demandais où est-ce qu’elle allait, qui elle rejoignait elle restait très évasive, mais comme elle s’était toujours montrée honnête avec moi je lui faisais confiance, aveuglement confiance. Les mois passaient, sans vague, ma vie était magnifique, je remerciais Dieu chaque jour de m’avoir donné cette chance d’être à nouveau aimée, d’avoir une fille qui faisait ma fierté et que j’aimais plus que tout, d’être en bonne santé, d’avoir évolué dans mon travail et de ne manquer de rien. Suite à cette évolution, je passais un peu plus de temps au bureau je rentrais un peu plus tard j’étais parfois en déplacement, c’était le job. Assister un Grand Directeur demande présence et disponibilité. Mon conjoint était fier de moi et ça me donnait beaucoup de force. Lors d’un voyage, mon patron a dû rentrer plus tôt pour raisons familiales, je l’ai bien-sûr suivi. Je suis donc arrivé plus tôt à mon domicile et n’avait volontairement prévenu personne pour faire une surprise. Si j’avais pu me douter une seconde de ce que j’allais découvrir je n’aurai jamais ouvert ma porte, JAMAIS! J’ai poussé cette porte et découvert sur chaque parcelle du sol, de MON sol, les vêtements de ma fille et de mon homme, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, mon coeur s’accélérait, je commençais à trembler, mes jambes commençaient à flageoler, j’ai poussé la porte de la chambre de ma fille et j’ai vu l’impensable, j’ai vu l’horreur, j’ai vu ce que le diable est capable de faire, ma fille et mon conjoint l’un sur l’autre, en plein acte. Il semblerait que je me sois évanouie. Je me suis réveillée à l’hôpital entourée de médecins et de celle que j’avais toujours appelé ma fille, celle à qui j’avais donné la vie. J’ai, comme me l’on expliqué les médecins, souffert de mutisme durant 5 mois, il m’a été impossible de sortir un mot. Pour tout avouer encore aujourd’hui je ne me souviens pas de grand-chose c’est grâce à ma meilleure amie que j’ai pu suivre le film de ma vie ces derniers mois, elle a tout géré pour moi, je suis actuellement encore en arrêt maladie, j’espère trouver la force de reprendre mon travail. Après ce que mon psy appelle mon choc émotionnel », je suis restée hospitalisée 3 mois, aujourd’hui je vis chez ma meilleure amie, je suis incapable de retourner chez moi. Lui a tenté à plusieurs reprises de rentrer en contact avec moi, mais je ne m’en sens pas capable, c’est encore trop tôt. Lorsque mon amie le contactait pour savoir ce qu’il s’était passé il a quand même mis plusieurs semaines avant de tout lui avouer, mais il l’a fait, il a avoué. Quand à ma fille c’est encore pire, je ne sais pas si je pourrais la regarder à nouveau dans les yeux. C’est ma chair, mon sang, celle pour qui j’ai tout sacrifié comme toute mère. Il parait qu’ils se seraient installé ensemble il y a un mois malgré leurs 20 ans d’écart. Je me sens humiliée, salie, trahie. J’ai mal au plus profond de moi. J’ai accepté d’en parler aujourd’hui, car mon psychologue m’a dit que c’était important. Je vais aussi voir le prêtre de mon église chaque semaine, car je sais que Dieu va m’aider.
RozsaTassi a rencontré Rocco Siffredi en 1993, alors qu’elle avait 21 ans. Pour lui, la jeune hongroise est devenue Rosa Caracciolo - son nom d’actrice porno -
Par dans Amour et séduction Mis à jour le 17 août 2019 , Lu 17667 fois L’une des questions que les gens se demandent très souvent est pourquoi les hommes noirs préfèrent les femmes blanches », oubliant aussi que les femmes blanches préfèrent beaucoup plus les hommes noirs… A chaque année, des milliers des femmes blanches débarquent en Afrique subsaharien à la cherche de leurs princes charmants, des hommes noirs. Pourquoi alors la femme blanche laisse l’homme blanc en occident, qui est parfois financièrement construit, pour aller chercher un black en Afrique ? Cet article a été écrit pour élucider le mystère. L’homme noir est trop généreusement gâté par la nature Mythe ou réalité ? On raconte partout dans le monde que l’homme noir est doté d’un engin d’un gros calibre. Et puisque les femmes, surtout les blanches, sont naturellement attirées par les hommes trop généreusement gâtés par la nature, la femme blanche aime alors avoir un homme noir dans son lit. L’homme noir est à la fois charmeur, doux et vilain garçon Quand il s’agit d’aborder les femmes, l’homme noir est quelqu’un de plus confiant. Il sait aussi charmer les femmes grâce à son assurance et sa bonté. Il donne autant d’affection et du respect à la femme. IL est aussi un homme protecteur. Ajouter à cela le fait qu’il soit un vilain garçon, l’homme noir est l’homme dont la plupart des femmes rêvent avoir à leurs côtés. Un vilain garçon ne signifie pas ici un garçon moche. Il s’agit d’un homme qui sait imposer des limites. Il ne s’abaisse pas devant quelqu’un ou une femme pour faire plaisir. Il dit non quand il le faut. C’est un homme responsable. Bref, l’homme noir est un vrai homme qui sait prendre ses propres décisions. Il ne se laisse pas dicter sa conduite. En plus de cela, il sait aimer et protéger sa dulcinée ; et les femmes adorent ça. Et comme l’a dit Maire Pehkone, une suédoise qui n’aime vivre l’amour qu’avec des hommes noirs l’homme noir est très gentil… » Quand il s’agit d’une femme blanche, l’homme noir s’en fiche de l’âge C’est bien connu chez les mamies blanches. Les hommes noirs sont des gens très reconnaissants. Et la plupart des jeunes africains souhaitent quitter le continent pour une vie meilleur en Europe. Ils sont donc prêts à aimer, chérir, et même s’engager avec des vieilles blanches si cela leur permettra d’avoir le ticket pour l’Europe. Beaucoup des vielles femmes blanches veulent profiter de la vie. Elles veulent être aimées et se sentir aimées. Et elles savent que les jeunes blacks peuvent leurs offrir de l’amour. C’est pour ça qu’elles préfèrent partir chercher leurs anges gardiens en Afrique. . 177 434 194 17 74 134 414 116

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