Leciel et la neige - Avril 2003. Le ciel est transparent comme la neige avec des Ă©toiles scintillantes, On dirait que c’est comme un bal d’étoiles, Qui danse au milieu de nulle part. La terre s’appelle la planĂšte bleue Car elle est recouverte d’eau pure et transparente. Les planĂštes resplendissent dans tout l’univers,
Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AndrĂ© BAY Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous T timoineau 28/05/2019 2302 j'espere que vous avez toutes profiter de votre journĂ©e et que vous avez Ă©tĂ© bien gatĂ© RĂ©pondre C chantal lacour 27/05/2019 1531 bonjour joli ce texte pour les mamans . bisous . RĂ©pondre C Cmafalda 26/05/2019 2248 bonne fĂȘte a vous toutes ! pour moi un dimanche comme un autre , lol bises RĂ©pondre G gateuxrigolo 26/05/2019 1930 hello bonne fete a toutes bisous RĂ©pondre D dominique 26/05/2019 1636 merci pour ce joli poĂšme ! bonne fĂȘte Ă  toi et Ă  toutes les mamans qui me liront ! bises RĂ©pondre L LaĂ«titia62_59 26/05/2019 1434 joli poeme bonne fete , bon dimanche RĂ©pondre M TrĂšs joli poĂšme...ma maman est au ciel mais toujours dans mon coeur ...bonnes fĂȘte Ă  toutes les mamans sur terre et dans les Ă©toiles ... bonne journee Manou RĂ©pondre I Isaphanie 26/05/2019 1103 TrĂšs joli poĂȘme, bonne fĂȘte Manou, et bises. RĂ©pondre M MissParker 26/05/2019 1100 C'est bien vrai ; Bonne FĂȘte des MĂšres Ă  Toutes Beau dimanche ensoleillĂ©, bises RĂ©pondre J bonne fĂȘte Ă  toutes les mamans qu'elles soient honorĂ©es comme elles le mĂ©rite bisous janine RĂ©pondre B bonne fĂȘte a toutes les mamans jeunes et moins jeunes et a celles qui l ont Ă©tĂ© je l enverrai bien a quelques personnes ce poĂšme bisous et belle journĂ©e le soleil a enfin chassĂ© la brume je ne voyais plus la colline RĂ©pondre M eh oui Ă  ceux ou celles qui oublient qu'ils ont une maman ! allez ne gĂąchons pas cette belle fĂȘte T Bonne fĂȘte Manou Bisous RĂ©pondre M merci Martine ! bonne fĂȘte Ă©galement Y Bonjour, Merci pour ces souhaits et bonne fĂȘte. RĂ©pondre
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Desmilliers d'Ă©toiles dans le ciel, des milliers d'oiseaux dans les arbres, des milliers de fleurs dans les jardins, En classe entiĂšre on analyse la structure des poĂšmes. Chaque Ă©lĂšve choisi un modĂšle de poĂšme qui l'inspire (crĂ©ation de groupes) 2. Recherche d'idĂ©es | 15 min. | recherche . Par groupe les Ă©lĂšves cherchent des groupes nominaux (poĂšme 1), J’eus cette vision. Les siĂšcles sans repos Avaient passĂ© dans l’ombre, ainsi que des troupeaux Que le berger pensif ramĂšne Ă  leurs Ă©tables À l’heure oĂč, pour calmer nos maux inĂ©vitables, Descend sur nous l’obscur silence de la nuit. Dans le brillant palais du roi Zeus, reconstruit Au sommet d’un Olympe idĂ©al et cĂ©leste, Je vis les Dieux. Vainqueurs de cet exil funeste Que leur avait jadis imposĂ© le Destin, Ils Ă©taient rĂ©unis dans l’immortel festin Visible seulement pour le regard des sages, Et l’orgueil du triomphe Ă©tait sur leurs visages. Tout ouvert sur le vaste azur mystĂ©rieux Et laissant voir au loin les mondes et les cieux, Le palais, reconstruit dans sa forme premiĂšre, Était fait de splendeur intense et de lumiĂšre. Innombrables, penchant sur lui leurs fronts charmants, Fixant sur lui d’en haut leurs yeux de diamants, Les Constellations, les Étoiles-DĂ©esses, Les Astres-Dieux, laissant voler leurs blondes tresses De flamme dans l’éther qui n’était plus dĂ©sert, Unissaient leurs voix d’or en un tendre concert, Et, dansant et jouant dans les ondes sonores, Couraient d’un pas agile en portant des amphores. Dans le calme ocĂ©an aĂ©rien, vibrant Comme une lyre dont le doux rhapsode errant Éveille sous ses doigts les cordes amoureuses, Se baignaient en riant les Ăąmes bienheureuses. Sur la table des Dieux que paraient leurs couleurs, Brillait une forĂȘt rouge de grandes fleurs Ouvrant avec orgueil pour les apothĂ©oses Leurs calices d’amour, Ă©carlates et roses. Sur les plats de rubis et d’or Ă©blouissants, De beaux fruits merveilleux, sanglants et rougissants, OĂč rayonnait la pourpre avec sa frĂ©nĂ©sie, Montraient leur duvet clair et leur chair d’ambroisie. Le vin dormait, vermeil, dans les amphores d’or, D’oĂč, par milliers, courant en leur agile essor, Des nymphes aux beaux bras, formant de riants groupes, Avec des cris charmants le versaient dans les coupes. Et les Heures au haut du ciel oriental, Tressant diligemment leurs notes de cristal, Montaient et descendaient la gamme ardente encore De l’escalier sonore oĂč s’éveille l’Aurore. Rattachant Ă  la chaĂźne auguste chaque anneau Vivant du souvenir, ThĂ©a, Mousa, Hymno Chantaient. Elles disaient les gĂ©nĂ©alogies Des Dieux, les saintes Lois domptant les Énergies PremiĂšres, et comment TyphĂŽeus tout en feu Fut vaincu par le Roi rayonnant du ciel bleu Qui le prĂ©cipita dans le large Tartare. Elles disaient comment du noir Chaos barbare Put naĂźtre l’Harmonie Ă©ternelle, et comment Au firmament les clairs astres de diamant, EntraĂźnĂ©s par la joie amoureuse et physique Du nombre, sont la Lyre immense et la Musique Sans fin ! Les Immortels les Ă©coutaient, ravis, En savourant le vin vermeil, et je les vis ! Je vis Zeus que le Mal en sa haine dĂ©teste, Zeus ayant sur le front la lumiĂšre cĂ©leste ! Je vis les Rois-Soleils, les gloires de l’azur HĂ©raklĂšs radieux, vainqueur du monstre impur, Le beau Dionysos, dont le regard essuie Les cieux et fait tomber la bienfaisante pluie Qui s’élance, flot d’or, dans les pores ouverts De notre terre, et fait gonfler les bourgeons verts ; HypĂ©rion, qui fait planer sur nos dĂ©sastres Le mouvement toujours mĂ©lodieux des astres, Et celui que DĂšlos rĂ©vĂšre, Apollon-Roi, Le clair tĂ©moin, l’archer qui lance au loin l’effroi, Et qui donne Ă  la terre, oĂč son regard flamboie, Les chansons et l’orgueil des blĂ©s d’or et la joie. Puis je vis HermĂšs, qui, sur le mont dĂ©jĂ  noir, Vole avec art les gais troupeaux roses du soir ; Puis HĂ©phaistos, qui sait, ingĂ©nieux artiste, Sertir la chrysolithe en flamme et l’amĂ©thyste ; Puis ArĂšs effrayant, pour la Justice armĂ©, Qui sans repos s’élance au combat enflammĂ©, ArĂšs au cƓur d’airain qui combat pour la RĂšgle, Et dont le casque noir a les ailes d’un aigle. Eux et mille autres Dieux armĂ©s, beaux, rayonnants, Fils des Titans, guerriers au haut des cieux tonnants, Je les vis, et prĂšs d’eux, sereines dans leurs belles Demeures, je vis les DĂ©esses immortelles ! Je vis HĂ©rĂ© ; je vis, portant sur son manteau Les plaines, DĂ©mĂ©ter ; puis KorĂ©, puis LĂšto, Puis AthĂ©nĂ© dont l’Ɠil bleu, brillant de courage, Ressemble Ă  la clartĂ© du ciel aprĂšs l’orage ; La belle DionĂ©, ThĂ©tis, puis ArtĂ©mis, La Reine au fuseau d’or, plus blanche que les lys Et que l’ƒta couvert de neige et que les cygnes, Qui parcourt sur son char Claros fĂ©conde en vignes Et la fertile Imbros ; puis encor des milliers D’autres DĂ©esses, qui sur les bleus escaliers Triomphaient. Leurs beaux fronts parfois touchaient aux frises Du grand palais d’azur, et je les vis, assises Dans leur gloire sur leurs trĂŽnes d’or, ou debout, Reines de clartĂ©, dans la clartĂ©. Mais surtout Je la vis, celle dont la mer avec ses Ăźles Riantes rĂ©flĂ©chit les doux regards mobiles, Celle dont la prunelle est noire, et dont le corps Harmonieux, rhythmĂ© comme les purs accords Des sphĂšres, de clartĂ©s tremblantes s’illumine, L’auguste AphroditĂš, reine de Salamine ! Grande et svelte, et naĂŻve en son charme enfantin, Et portant sur son front la splendeur du matin, Ses lourds cheveux riants, dont la Nuit s’épouvante, Étaient comme la mer de feux Ă©blouissante. Son corps, nu, vigoureux, comme un grand lys Ă©clos, S’élançait adorable et poli sous les flots De cette toison folle, et, triomphant sans vaines Entraves, ses beaux seins aigus montraient leurs veines D’un pĂąle azur et leurs boutons de rose ardents. Ses cils courbĂ©s faisaient une ombre d’or. Ses dents Ressemblaient Ă  la neige oĂč le soleil se pose, Et ses lĂšvres de rose Ă©taient comme une rose. Ces lĂšvres, je les vis tout Ă  coup s’entr’ouvrir Comme une fleur au cƓur brĂ»lant qui va fleurir ; Penchant son cou rosĂ©, la reine de CythĂšre DĂ©licieusement regarda vers la terre. Ses yeux humides, noirs, mystĂ©rieux, oĂč luit Notre dĂ©sir, Ă©taient plus profonds que la nuit, Et, secouant ses lourds cheveux Ă©pars aux fines Lueurs d’or, elle dit ces paroles divines Homme ! ce n’était pas assez d’ĂȘtre pareils À toi ! nous les grands Dieux qui tenons les soleils Dans nos mains, et, Rois faits de lumiĂšre et de flamme, D’avoir tes yeux, ton front, ton visage et ton Ăąme ! Ce n’était pas assez d’ĂȘtre pareils Ă  toi Par le rhythme ailĂ©, par le chant qui t’a fait roi, Par l’orgueil de la pourpre en feu, par le dĂ©lire Du glaive, par la joie immense de la Lyre, Par les fureurs d’Éros, jaloux de nos autels, Qui triompha d’unir Ă  des hommes mortels Les DĂ©esses des cieux Ă  leur sang infidĂšles, Et de mĂȘme d’unir Ă  des femmes mortelles Les Dieux, de qui naissaient alors, jouet du sort, Des enfants beaux et fiers, mais sujets Ă  la mort. Non ! tu voulus aussi nous voir mourir nous-mĂȘmes ! Car tu gĂ©mis sur tes destins, et tu blasphĂšmes AmĂšrement tes Dieux, s’ils n’ont suivi tes pas Dans la nuit, et subi comme toi le trĂ©pas. Donc, chassĂ©s par ta haine, et pour que tu nous pleures Dans ton cƓur, nous avons fui nos belles demeures Pour l’exil ; nous avons, loin de nos clairs palais, Subi l’affreuse mort, puisque tu le voulais ! Et, nous ta vertu, nous ton dĂ©lice et ta gloire, EmportĂ©s loin des cieux jaloux par l’aile noire De l’orage, fuyant dans la brume des soirs, FantĂŽmes Ă©perdus qu’en leurs longs dĂ©sespoirs Suivaient sinistrement l’insulte et les huĂ©es, Nous flottions, errants, dans le frisson des nuĂ©es Et des fleuves, dans les forĂȘts et sur les monts Sourcilleux ; les mĂ©chants nous appelaient dĂ©mons, Et, frappĂ©s comme nous de ta haine si lourde, Le ciel Ă©tait aveugle et la terre Ă©tait sourde. Mais, sois bĂ©ni ! voici qu’en des Ăąges plus doux Les poĂštes nouveaux ont eu pitiĂ© de nous ! Tout est ressuscitĂ© dans l’aurore vermeille, Et la sainte Louange avec nous se rĂ©veille. Vois, le ciel est vivant, les astres sont vivants ; Une ode ivre de joie Ă©clate aux quatre vents. Partout, dans le flot clair et sur l’ñpre colline, Brille, nue en sa fleur, la beautĂ© fĂ©minine ; Les fleuves, tout emplis de rires ingĂ©nus, Se soulĂšvent, charmĂ©s, sous les jeunes seins nus Qu’on voit fuir et glisser vers les grottes obscures ; Chevelures d’azur et vertes chevelures, Les ondes, les rameaux frĂ©missent de plaisir. Tu ris Ă  l’univers que tu vas ressaisir ! Oui, c’est pour toi que les Ă©toiles resplendissent ; Devant tes yeux charmĂ©s des chƓurs dansants bondissent ; Tu revois dans l’eau vive et dans l’air agitĂ© Mille reflets divers de ta divinitĂ©, Et tu n’es plus seul ! dans nos palais grandioses L’échelle des hĂ©ros et des apothĂ©oses Qui joint la terre au ciel pour tes yeux Ă©clairci, Se relĂšve, sublime escalier d’or. Ainsi Les Dieux et l’Homme et la Nature au flanc sonore Sont comme une famille immense qui s’adore ; Et dans ce grand festin de la terre et des cieux Tandis que nous buvons le vin dĂ©licieux Et la force de vie intense qu’il recĂšle À la fĂ©licitĂ© de l’ñme universelle, EnivrĂ©s comme toi de sons et de rayons Dans l’immuable azur, Homme, nous te voyons, RevĂȘtu de nouveau de ta force premiĂšre, Puissant GĂ©nie ailĂ©, monter vers la lumiĂšre ! C’est ainsi que parla vers l’avenir naissant La grande AphroditĂš, caressante et laissant Courir sur son dos sa chevelure embaumĂ©e, Et les SphĂšres, suivant leur route accoutumĂ©e, Regardaient ses yeux noirs, carquois inĂ©puisĂ©s, Avec des tremblements et des bruits de baisers. GoĂ»tant les mets divins aprĂšs de si longs jeĂ»nes, Les grands Dieux se penchaient vers moi, bienveillants, jeunes, RĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, heureux d’avoir, grĂące Ă  l’effort Des poĂštes, vaincu les horreurs de la mort, Et le joyeux titan Amour, levant sa coupe Que rougit le nectar, vers les Charites, groupe Adorable, naguĂšre encor du ciel banni, Disait Que l’Homme soit bĂ©ni ! que l’Infini PeuplĂ© d’Astres-amants pour lui n’ait plus de voiles ! Et j’entendis le chant merveilleux des Étoiles. Septembre 1866.
Desmilliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et
Des milliers de lumiÚres par Rickways Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3. par Jmd Lorsque la nuit domine les rayons du soleil Que la chaleur s'enfuit dans un courant de glace Lorsque le temps culmine vers une année sommeil Que décembre envahit dans une derniÚre trace Des milliers de lumiÚres envahissent le ciel Des milliers de lumiÚres naissent aux couleurs de miel Noël c'est une étoile dans le coeur des hommes Un instant de magie aux yeux qui brillent comme Des perles de rosée, souvenir de l'esprit Venues émerveiller nos derniers jours de gris. Des milliers de lumiÚres envahissent le ciel Des milliers de lumiÚres naissent aux couleurs de miel PoÚte InterprÚte
Desmilliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des
ExpĂ©diteur Conversation ROLLANDPOEME EnvoyĂ© le 16/3/2015 1856 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 UN FRAGMENT D'ETERNITEJe ne suis qu’un fragile fragment d’éternitĂ©EnfantĂ© dans le noir du ventre de l’ par une Ă©toile, par sa lumiĂšre chauffĂ©,Elle me protĂ©geait du froid de la nuit polaire. Par secousses terrifiantes d’un grand chambardement Sur mon astre dorĂ©, au fil des millĂ©naires,J’ai vu Ă©merger les galaxies du nĂ©ant,La naissance des planĂštes et du systĂšme par une mĂ©tĂ©orite, mon Ă©toileEclata, devint de la poussiĂšre d’éternitĂ© infinitĂ©simal,Ainsi, je perdis mon hĂŽtesse une dĂ©rive en centaines d’annĂ©es-lumiĂšre,ProtĂ©gĂ© par la lune et son sourire sĂ©culaire,Par hasard, je tombai sur la planĂšte Terre,J’apprĂ©ciai surtout son eau et le fond des mers. Avec le soleil en complice et sa chaleurBienfaitrice, la fin programmĂ©e des Ăšres glaciaires,Tout se transforme, apparaissent les arbres et les fleurs. La Terre proclamĂ©e paradis de l’Univers. Un simple souffle ! Un fragment de l’éternitĂ© !Nul ne connaĂźt mes origines, pourtant je suis Dans chaque corps, j’ai fĂ©condĂ© l’humanitĂ©,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. Sympatique EnvoyĂ© le 16/3/2015 1901 Plume de diamantInscrit le 4/5/2014De Ailleurs ....Envois 12610 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE vous m'appelez la Vie.,,,,,,,,,,,,,,,,,et de l'esprit qui cherche sous ces plis bellement dit licorne40 EnvoyĂ© le 16/3/2015 1902 Plume de platineInscrit le 20/1/2015De Envois 3084 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEmerci Rolland pour ce magnifique poĂšmej'ai adorĂ©mes amitiĂ©s cristof75 EnvoyĂ© le 16/3/2015 1926 Mascotte d'OasisInscrit le 24/8/2010De parisEnvois 13424 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE SOLANE EnvoyĂ© le 16/3/2015 1937 Plume d'orInscrit le 27/2/2010De Face Ă  la merEnvois 626 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir Rolland,Laissez vous tenter par l’excellent livre des frĂšres BOGDANOV ; la fin du hasardCe n’est pas de la science-fiction, mais un essai de vulgarisation scientifique, bien Ă©crit et bien documentĂ©. Si la vie s’est dĂ©veloppĂ©e sur notre » planĂšte ce n’est pas dĂ» au hasard
il y avait tous les Ă©lĂ©ments pour qu’elle se dĂ©veloppe, Voltaire disait L’Univers m’embarrasse et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger »Votre Ă©criture laisse planer un certain mystĂšre...BravoSOLANE celia_m EnvoyĂ© le 16/3/2015 1947 Plume de platineInscrit le 21/1/2015De QuĂ©bec CanadaEnvois 2075 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce poĂšme..magnifiquement beau..AmitiĂ©scĂ©lia Tournesol EnvoyĂ© le 16/3/2015 1954 Plume de platineInscrit le 18/4/2008De RoumanieEnvois 5281 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITECeci est une merveilleuse vision poĂ©tique de ce qui aurait pu se passer au temps 0 de notre UNIVERS et de l'HUMANITE. Moults MERCIS pour ce poĂšme '' autobiographique '' , Rolland. Quant aux lĂ©gendes chinoises sur ce thĂšme, en voici une, intitulĂ©e '' Pangu crĂ©e le monde ''IAvant que le Monde soit Monde, l’univers ressemblait Ă  un grand oeuf oĂč se mĂȘlait le Ciel et la Terre, l’ObscuritĂ© et le Chaos. Pangu y dormait milles ans aprĂšs notre gĂ©ant se ouvrant les yeux, il ne rencontra que l’obscuritĂ©. La sensation d’étouffement et d’ennui qu’il Ă©prouva le mit dans une colĂšre terrible. Il ouvrit ses Ă©normes mains, souleva ses bras colossaux et, de toutes ses forces, donna un Ă©norme coup sur la paroi. Dans un bruit de tonnerre, l’oeuf se brisa en deux, et tous ses Ă©lĂ©ments, figĂ©s depuis des milliers et des milliers d’annĂ©es, se rĂ©pandirent en tous l’agitation qui suivit, les Ă©lĂ©ments lĂ©gers et transparents s’élevĂšrent doucement et se dispersĂšrent peu Ă  peu pour former le Ciel, tandis que les Ă©lĂ©ments lourds et gluants descendirent et se dĂ©posĂšrent pour former la Terre. Debout entre le Ciel et la Terre, Pangu poussa un long soupir de soulagement et se sentit beaucoup plus Ă  l’ Ciel et la Terre Ă©taient sĂ©parĂ©s. Mais, craignant qu’ils se rĂ©unissent Ă  nouveau, Pangu leva les bras pour soutenir le Ciel qui lui pesait sur la Ciel et la Terre grandirent Ă  raison de trois mĂštres par jour, au mĂȘme rythme que milles ans s’écoulĂšrent encore. Le Ciel Ă©tait dĂ©jĂ  trĂšs haut, la Terre trĂšs Ă©paisse, et la taille de Pangu atteignait quelque quarante cinq milles kilomĂštres !GrĂące Ă  la force prodigieuse de Pangu, le Ciel et la Terre avaient Ă©tĂ© créés, et les efforts qu’il avait consacrĂ©s Ă  sĂ©parer le Ciel et la Terre Ă©liminaient tout risque de les voir Ă  nouveau se obscur et chaotique de l’univers n’était plus qu’un lointain souvenir. HĂ©las, Ă©puisĂ© par ses travaux de crĂ©ation, notre gĂ©ant finit par mourir de espĂ©rait crĂ©er, aprĂšs la sĂ©paration du Ciel et de la Terre, un monde rayonnant et magnifique, Ă©clairĂ© par le Soleil et la Lune, surmontĂ© de montagnes, habitĂ© par des hommes et d’autres ĂȘtres vivants. Mais il s’éteignit sans pouvoir achever cette oeuvre il advint qu’à la mort du gĂ©nie crĂ©ateur, son corps se mĂ©tamorphosa entiĂšrement Son souffle se transforma en brise printaniĂšre donnant vie aux ĂȘtres vivants, en nuages et en brumes suspendus dans le ciel et sa voix se changea en tonnerre secouant le Ciel et la oeil gauche devint un Soleil flamboyant, son oeil droit, une Lune claire. Ses cheveux et sa barbe se changĂšrent en une multitude d’ quatre membres et son corps devinrent cinq hautes montagnes s’élevant jusque dans les nuages et s’étendant Ă  l’Est, au Sud, Ă  l’Ouest et au Nord de la sang se transforma en fleuves et en riviĂšres impĂ©tueux, et ses veines en routes courant dans toutes les muscles devinrent des champs fertiles, ses dents, ses os et sa moelle se cristallisĂšrent en perles, en jade et en minĂ©raux poils de sa peau se mĂ©tamorphosĂšrent en prairies et en forĂȘts tapissant toute la Terre, et sa sueur tomba en rosĂ©e et en pluie arrosant la monde splendide et merveilleux fut ainsi créé grĂące Ă  la force prodigieuse et Ă  l’esprit d’abnĂ©gation du gĂ©ant Ă  l’humanitĂ©, on dit qu’elle serait nĂ©e de l’ñme du gĂ©ant aprĂšs sa mort. Ainsi pouvons-nous prĂ©tendre ĂȘtre chacun les descendants lĂ©gitimes du gĂ©ant Pangu, crĂ©ateur du Ciel et de la Terre. Au plus grand plaisir de vous relire, AMITIES sincĂšres,-DoĂŻna amoureuse du Temps et de l'Espace qui m'hĂ©bergent grĂącieusemant dans l'Univers luzdelsol EnvoyĂ© le 16/3/2015 1958 Mascotte d'OasisInscrit le 10/1/2011De sur ma planĂšte "le soleil"Envois 24428 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci pour ce trĂšs beau partage et ce retour aux sources originelles Luz -Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vĂ©cu. Le DalaÏ LamaNul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit
 Khalil Gibran Isalabella EnvoyĂ© le 16/3/2015 2342 Plume de platineInscrit le 24/2/2015De Haut-de-FranceEnvois 3457 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEAlors...MERCI LA VIE!MERCI Ă  toi Rolland pour ce sublime poĂšme, tu nous tiens en haleine jusqu'au bout! j'ai adorĂ©. Tous mes applaudissements Douce nuitAmitiĂ©s Isabelle poesiade EnvoyĂ© le 17/3/2015 806 Plume de platineInscrit le 17/7/2008De un patelin de paix et d'amourEnvois 7327 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE"Un simple souffle ! Un fragment de l’éternitĂ© !Nul ne connaĂźt mes origines, pourtant je suisDans chaque corps, j’ai fĂ©condĂ© l’humanitĂ©,Prenez grand soin de moi, vous m'appelez la Vie. "TrĂšs bel Ă©crit que ce cheminement de ce souffle que nous appelons la VieamitiĂ© -Mon Roman " LES LAMES DU SILENCE" vient de paraĂźtre chez EDILIVRE ROLLANDPOEME EnvoyĂ© le 20/3/2015 837 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEMerci Ă  vous tous pour vos messages amicaux et votre journĂ©eRolland angiee EnvoyĂ© le 21/3/2015 2153 Plume de platineInscrit le 26/8/2008De AilleursEnvois 9862 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITEBonsoir j aime beaucoup celui ci,il y a tout ,mais il parle humanitĂ© et de vie,et ça j adore merci - cyrael EnvoyĂ© le 19/10/2018 1437 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2005De ****Envois 75139 Re UN FRAGEMENT D'ETERNITE nous ne sommes qu'un fragment........beau poĂšme, qui exprime bien la fragilitĂ©..d'une existence face Ă  l'immensitĂ©au plaisir de vous lire, je vous souhaite une heureuse journĂ©e de vendredi-belle journĂ©e aux poĂštes keraban EnvoyĂ© le 19/10/2018 1532 Mascotte d'OasisInscrit le 15/11/2007De La CorrĂšze du sudEnvois 11099 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai bien aimĂ© cette poĂ©sie, la naissance de la vie et sa survie, et l'ai mise en parallĂšle avec le tableau du nu fĂ©minin de Gustave Courbet, "l'origine du monde".Bravo RolandAmitiĂ©Keraban -J'aime la poĂ©sie qui me parle et qui chanteLire plusieurs de mes livres rĂ©cits, roman, polar, essai, poĂšmes poetal EnvoyĂ© le 19/10/2018 1616 Plume de platineInscrit le 20/10/2015De Envois 7862 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Shovnigorath EnvoyĂ© le 22/10/2018 1242 Plume de platineInscrit le 7/4/2012De ProvenceEnvois 3067 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE -“L'homme est un animal domestique, l'animal est un homme libre” Shovnigorath Josy EnvoyĂ© le 24/10/2018 1545 Plume d'argentInscrit le 16/11/2013De BelgiqueEnvois 314 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE ISABELLE59 EnvoyĂ© le 1/11/2020 944 Mascotte d'OasisInscrit le 14/12/2011De DUNKERQUEEnvois 17025 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Sybilla EnvoyĂ© le 27/10/2021 1505 ModĂ©ratriceInscrit le 27/5/2014De Envois 67789En ligne Re UN FRAGMENT D'ETERNITEBonjour Rolland,Un fragment de la vie, qui si elle n'est pas Ă©ternelle, au moins puisse t'elle offrir le meilleur !Magnifique poĂ©sie en ce souffle trĂšs bien esquissĂ© en tes trĂšs beaux vers ! Belle journĂ©e !AmitiĂ©sSybilla-Le rĂȘve est le poumon de ma vie. Citation de Sybilla Esperances EnvoyĂ© le 29/10/2021 109 Plume de platineInscrit le 7/12/2019De Envois 4254 Re UN FRAGMENT D'ETERNITE Ancielo EnvoyĂ© le 29/10/2021 136 Mascotte d'OasisInscrit le 18/10/2021De Seine Maritime - DieppeEnvois 2866 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn magnifique poĂšme. berrichonne EnvoyĂ© le 29/10/2021 747 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re UN FRAGMENT D'ETERNITESuperbe, j'ai lu et relu !Bonjour Rolland, mes amicales -La vie est belle il faut savoir l'apprĂ©cier. Sphyria EnvoyĂ© le 29/10/2021 759 Plume de platineInscrit le 25/4/2021De FranceEnvois 9734 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEJ'ai beaucoup aimĂ© ce voyage poĂ©tique dans l'infiniment grand et la naissance de la Vie !Ton poĂšme nous transporte dans le monde des origines avec talent ! fil2fer EnvoyĂ© le 30/10/2021 711 Plume d'orInscrit le 3/11/2015De Envois 1046 Re UN FRAGMENT D'ETERNITEUn bel hommage Ă  la vie, si mystĂ©rieuse et si
Quandle ciel Ă©teindra ses Ă©toiles avares, Pour Ă©clairer l'espoir, l'homme a plantĂ© des phares. Sur les rocs, les Ă©cueils, la pointe des Ăźlots ; DĂšs que meurt le soleil, la cĂŽte illuminĂ©e. DĂ©ploie avec lenteur une large traĂźnĂ©e. De sa lumiĂšre ardente Ă  l'horizon des flots. Si le ciel est peuplĂ© d'Ă©toiles inutiles, Il n'y a rien de plus beau que de jolis poĂšmes d'amour , Ă©talĂ©s sur du papier et dit avec sincĂ©ritĂ© , pour dĂ©clarer son amour Ă  la personne aimĂ© ! Il existe un monde merveilleux ou aimer est la seule loi , cette endroit est dans le coeur de chacun de nous , il suffit d'y croire trĂšs fort ! Quand un homme veut conquĂ©rir une femme il faut pour cela qu'il lui montre du respect , qu'il le prouve par des actions et des gestes tendres et surtout qu'il la fasse rĂȘver , lui montrer qu'elle est la seule qui compte Ă  ses yeux ! Cette nuit je veux ĂȘtre une fĂ©e pour te faire rĂȘver , avec ma baguette magique ta nuit sera unique , je te ferai oublier ta journĂ©e dans un tendre baiser ......... Avant on passait des nuits entiĂšres ensemble a discuter et maintenant tu les passe avec d'autres , la vie est ainsi faite , tu m'as oubliĂ© dans un coin de ta mĂ©moire ....... Je suis cette fine poussiĂšre d'Ă©toile qui va te faire rĂȘver en t'inondant d'amour ! Je suis ton Ăźle inexplorĂ©e qui attend ton arrivĂ© , ton bateau va accoster sur mon rivage et en parcourir tous les contours , tu en sera le seul explorateur et le maĂźtre des lieux ...... Je suis ....... Je suis cette poĂ©tesse qui Ă©crit avec tendresse J'etale les poĂšmes d'amour comme des caresses , Je les dessine , les imagine , Les Ă©tale sur le papier pour te faire rĂȘver , Je suis aussi cette femme romantique , Qui rĂȘve d'un amour unique , MalgrĂ© que de nos jours les gens ne savent plus aimer , Je crois au destin , Je sais qu'au croisement d'un chemin , Chaque personne trouve son binĂŽme , Il suffit d'ouvrir son coeur et laisser entrer le bonheur sans avoir peur ! Je suis une goutte d'eau , Qui glisse sur ta peau , Je suis le soleil qui rĂ©chauffe ton corps , En te faisant frissonner , De la tĂȘte au pied , Je suis les Ă©toiles qui te font rĂȘver , Et t'emporteront au bout du monde , Je suis cette femme qui t'aimera , Jusqu'au bout de la nuit et si tu le veux toute la vie ! Regarde ........ Regarde mes yeux ils sont chaleureux , Quand je pense Ă  toi ils sont lumineux , Ils disent tout sans parler , Regarde les et lis la passion que tu inspires , Dedans tu y verras le dĂ©sir , Regarde mes yeux le soleil en a fait sa maison , Ils vont te rĂ©chauffer , Te faire rĂȘver , Te faire frissonner , Sur toi ils se promĂšneront avec tendresse , Ils t'apporteront beaucoup de bonheur , Tous mes regards ne sont que pour toi , Rien que pour toi ! Quand tu aimes ..... Quand tu aimes tu ne dois pas juger , Tu dois ĂȘtre au cĂŽtĂ© de la personne aimĂ© , La soutenir et la protĂ©gĂ©e , Il faut qu'elle sache que tu es lĂ  , Dans l'ombre de ses pas , Que malgrĂ© tous les problĂšmes tu ne la quittera pas , Aimer c'est aussi pardonner et tout recommencer , Surtout c'est beaucoup aimer , Partager les mauvais et les bons moments , C'est pleurer en mĂȘme temps et rire en duo , C'est une fusion entre deux ĂȘtres , Aimer c'est se donner entiĂšrement sans rien demander ! BientĂŽt ....... Les mimosas sont dĂ©jĂ  en fleurs , Et nous parfume de leurs odeurs , Cela sent l'arrivĂ©e du printemps , Que l'on attend impatiemment , Les oiseaux gazouillent pour faire venir le beau temps , Les amoureux se promĂšnent main dans la main , Suivant le mĂȘme chemin , Le soleil chauffe avec douceur , Nous apportant que du bonheur , Avec la douce brise du vent , Arrive des milliers de bisous , Qui viennent se dĂ©poser sur nos joues , Et nous faire rĂȘver ! L'amour virtuel ....... L'amour virtuel peut devenir rĂ©el , Il suffit de se rencontrer de s'apprĂ©cier et de s'aimer , De partager ce doux sentiment , Que l'on ne trouve pas souvent , Surtout ne pas rater le rendez-vous de l'amour Il ne te resterait que des regrets et tes yeux pour pleurer ! Quand on est amoureux ...... Quand on est amoureux dans notre cƓur s'allume une petite flamme , Dans nos yeux le ciel est toujours bleu , On frissonne quand le tĂ©lĂ©phone sonne , Un message de la personne aimĂ© , Et tout notre corps se met a trembler , L'amour est un sentiment merveilleux , Qui rend la vie magnifique et fĂ©erique ! Dans un regard ........ Dans un regard on peut tout y voir , La peine que l'on peut avoir , L'amour que l'on peut donner , Fort et passionnĂ© , Moi dans ton regard je me noie , Tes yeux me font voyager , Ils me font tout oublier , Ton regard c'est ma mĂ©diterranĂ©e , L'endroit ou j'aime naviguer , Mon regard est prisonnier du tien , Il ne peut s'en dĂ©tacher , A toi il est liĂ© , Je vis dans tes yeux un rĂȘve merveilleux ! On rĂȘve ....... On est beaucoup a rĂȘver d'une personne avec qui partager de belles soirĂ©es , Un petit dĂźner romantique Ă  ne jamais oublier , Faire une promenade sur la plage en se donnant la main et oubliant demain Sentir ce doux frisson nous envahir quand nos doigts se serrent , Nous dessinant sur le visage un beau sourire , On rĂȘve tous d'un baiser donnĂ© avec beaucoup de sincĂ©ritĂ© et passionnĂ© ne finissant jamais , Avec la personne aimĂ© nos nuits deviendront merveilleuses et nos journĂ©es joyeuses On attend cette personne qui changera notre vie et fera briller le soleil mĂȘme quand le ciel est gris ! Aujourd'hui ....... Un vent glacial a envahi le pays , Il fait trĂšs froid mĂȘme la nuit , L'eau des fontaines en coulant fait un joli bruit Parfois on entend un oiseau qui lance un petit cri , Ce soir bien au chaud dans mon lit , Je vais rĂȘver de toi toute la nuit , Tout doucement tu vas envahir mon sommeil Jusqu'au petit matin , Quand sonnera mon rĂ©veil ! Sur ma plage ....... Sur ma plage Ă  HyĂšres , Pleine de coquillages et de sable fin , Je nous imagine tous les deux assis sous les palmiers , Le soleil nous rĂ©chauffant , Un moment ensorcelant , Un verre de jus de fruit Ă  la main , On oubliera tous nous soucis , On s'aimera sans se cacher , Le chant des cigales nous charmera , Le bonheur nous submergera , Cette nuit nous seront fous , Aucun tabou ! Un ange ....... Quand je m'endors chaque soir , Un ange vient me voir , Fini le dĂ©sespoir , Il me redonne de l'espoir , Pour toi je veux ĂȘtre cet ange , Qui veillera sur toi quand tu dormiras , Je te tiendrai chaud quand tu auras froid , Je te ferai sourire mais jamais pleurer , Je te protĂ©gerai du monde entier , Je serai cet ange toujours Ă  tes cĂŽtĂ©s , Un ange nĂ© pour t'aimer ! La tendresse ....... La tendresse c'est un petit geste tout en dĂ©licatesse , C'est te prendre dans mes bras en te serrant , C'est dĂ©poser un bisou sur ta joue tendrement , La tendresse c'est un sourire que je te donnerai en te regardant , Doux et aimant , C'est te prendre la main et te faire passer tous mes sentiments , Profond et puissant , La tendresse c'est du bonheur qu'on aimerait garder longtemps , La tendresse c'est tout simplement t'aimer , Te faire tout oublier , faire de ta vie un vrai PARADIS ! Ce soir ....... LĂ©ger comme les ailes des papillons , Mon souffle effleurera ta peau , Mes mains seront de douces caresses , Glissant dans tes cheveux toute en finesse Et voyageant tout en tendresse , Je te donnerai des bisous au goĂ»t sucrĂ©s , Je rendrai ta vie merveilleuse , Je la peindrai avec les couleurs de l'amour Pour te rendre magique chaque jour , Et faire que ce bonheur dure toujours ! Le dĂ©sert ....... Le dĂ©sert un endroit mystĂ©rieux , Et en mĂȘme temps merveilleux , Un endroit ou l'esprit peut se reposer , Un endroit ou l'on peut rĂȘver , Sans ĂȘtre dĂ©rangĂ© , Avec un stylo et du papier , DĂ©poser toutes nos pensĂ©es , Un endroit entre ciel et terre , Qui nous fait penser Ă  un autre univers , Un endroit ou l'on peut s'Ă©vader , Dans le calme et la sĂ©rĂ©nitĂ© , Je peux mĂȘme t'imaginer , Tu es un beau cavalier , Arrivant au loin , Pour m'emporter dans ton pays lointain ! Quand on aime ...... Quand on aime c'est comme une grande fontaine de chocolat , On est dĂ©bordant de douceur , DĂ©goulinant de bonheur , On a le cƓur chaud et bouillonnant , On est beau a regarder car l'amour fait rayonner , Pour lui je veux ĂȘtre cette douceur , Ce petit bonheur sucrĂ© , Il sera mon chocolat que je veux dĂ©guster , Savourer et surtout beaucoup aimer , Sans m'arrĂȘter ! Mon amour ........ Regarde mes yeux , Quand je pense Ă  toi ils deviennent merveilleux Ils brillent comme des milliers d'Ă©toiles par une belle nuit , Ils sont remplis d'amour et d'envies , Il y a un volcan qui s'est allumĂ© en eux , Tu y a mis le feu , Qui brĂ»le comme dans une cheminĂ©e , Mes yeux ne sont fait que pour te regarder , Pour toi ils vont se consumer , Car en eux tu as rĂ©veillĂ© la passion , Qui ne s'Ă©teindra jamais ! Toi ....... On ne se connait que par nos claviers , On a créé une belle amitiĂ© , On partage ensemble des photos , des textes et de la poĂ©sie , On se parle de nos vies , On peut aussi rencontrer l'amour au dĂ©tour , C'est du soleil dans notre cƓur quand il fait gris dehors , Quand on se sent seul c'est du rĂ©confort , C'est lĂ  que je t'ai rencontrĂ© , Par mon clavier , Je t'ai apprĂ©ciĂ© , Toi l'amie de l'autre cĂŽtĂ© , Peut ĂȘtre qu'un jour on prendra ensemble le cafĂ© de l'amitiĂ© ! Pour ĂȘtre prĂšs de toi ........ Pour ĂȘtre prĂšs de toi je deviendrai ton ombre , Je ne ferai aucun bruit ,, Par la pensĂ©e on sera ensemble mĂȘme la nuit Tu ne m'entendra pas mais je serai lĂ  , Je serai cette femme qui veillera sur toi , Sans demander quoi que ce soit , Tout mes regards t'appartiennent , Le sang dans mes veines , Est une tempĂȘte d'amour qui coule rien que pour toi , C'est une riviĂšre sauvage ou partout il y a ton image , Mon cƓur est ta maison , Je veux ĂȘtre ton port d'attache , Quand tu jettera l'ancre pour te poser , Toujours je t'attendrai ! . 221 253 353 246 0 2 154 33

poÚme des milliers d étoiles dans le ciel